L'Histoire de Kyo
Kyozan - Lothranis
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Bonjour à tous, je viens ici pour vous compter l'histoire de mes petits personnages.
Vous comprendrez donc que le fait qu'elles s'appellent toutes les 3 Kyo~ n'est pas cause de schizophrénie de ma part, mais d'un simple effet RP ^^
Commençons donc, par le commencement :
Kyo, Origines
Kyo était un homme d'aventure qui parcourait les continents en quête d'émotions fortes et de monstres toujours plus forts à affronter. C'était un humain fort et habile qui maniait l'épée comme personne. Il était le champion de son village et nul autre habitant n'avait osé le défier pour prétendre à son titre.
Comme il voyageait beaucoup, il n'avait pas de port d'attache et donc pas de femme, ni de pas famille. Il était donc libre de s'offrir les délices de quelques nuits avec les jolies habitantes de villages traversés.
A chaque visite dans un nouveau pays, il s'autorisait une halte à la capitale et charmait une jeune et belle femme. Il lui suffisait généralement de raconter quelques unes de ses aventures en terre hostile pour la conquérir. Jamais plus d'une a la fois, Kyo était un Don Jean, pas un goujat !
Puis après ses quelques jours à quelques semaine passé en bonne compagnie, il repartait.
"L'aventure m'appelle, disait-il. Mais je ne t'oublierais jamais, beauté."
Il oubliait toutefois de préciser qu'il avait déjà dit cela à toutes ses précédentes conquêtes et qu'il ressortirait encore le même refrain, une bonne centaine de fois.
Après des années de quêtes, de batailles épiques et de débauche, Kyo était las. Son corps sentait le poids des années, il 'était plus tout jeune. Et les blessures qu'il avait subit l'handicapaient beaucoup. Désormais, il ne pourrait plus combattre, ce serait trop suicidaire.
Il réfléchit et fit le point sur sa vie passée. Il observa ses mains abîmées par les nombreuses batailles. Elles avaient tant combattu, tant saignées et tant peloté. Maintenant, elles ne désiraient qu'une chose : poser ses paumes sur la peau douce d'une seule et unique femme.
Il décida de rentrer chez lui, dans son village natale. Là bas, il se trouverait une femme. Une femme qui ne serait pas qu'une conquête. Une avec qui il pourrait finalement avoir un enfant, un garcon pour qu'il suive ses traces et devienne à son tour un fier combattant.
Seulement voila, arrivé au Village du Preux, ses exploits l'avaient précédé... Et sa réputation de coureur de jupon aussi. Aucune femme de voulu de lui.
Kyo le guerrier que rien n'avait pu détruire, l'homme a qui aucune femme ne pouvait résister finirait-il ses derniers jours seul ?
Ne pourrait-il jamais transmettre son savoir sur le combat à un enfant ?
Tout ce chemin parcouru pour finalement tomber dans l'ignorance de l'oubli...
Kyo fut dépité et pendant un instant, il songea au suicide, pour partir au sommet de sa gloire et ne pas se laisser le temps de dégringoler la pente raide qui se profilait a l'horizon.
C'est alors que son souhait fut exaucé. Pas celui de partir au sommet de sa gloire, mais celui d'avoir une descendance à qui transmettre son savoir. Le coursier du village vint frapper à sa porte pour lui annoncer qu'une lettre au parfum embaumant venait d'arriver pour lui au bureau des courriers.
Ni une ni deux, Kyo se précipita. La lettre d'une femme ne pouvait être que de bon augure !
Une villageoise cédait-elle enfin a ses charmes et le lui faisait-elle savoir par une lettre d'amour au parfum d'herbe d'or ?
La lettre disait ceci :
"Très cher Kyo,
Te souviens-tu de moi ? Ton "Amour" de Plume, celle qui était la prunelle de tes yeux et l'amour de ta vie ? Te souviens-tu ?
Moi, je me souviens de toi, de tes promesses et de tes mensonges.
Ta réputation t'a suivie de près et crois-moi, j'avais décidé de t'oublier.
Mais aujourd'hui, il n'y a pas que moi qui suis concernée. Tu m'as donné un enfant, Kyo. Un magnifique bébé qui porte ton sourire. Je l'ai nommé Kyohiiko en ton honneur. Même si tu as bafoué ma confiance et mon amour, tu n'en reste pas moins un grand homme. Tu as accompli de grandes choses et tu resteras à jamais dans mon coeur.
Si je t'écris cette lettre aujourd'hui, c'est parce que ma petite Kyohiiko de 3 ans me demande qui est son père, et je lui doit une réponse. Je n'ai qu'une requête a te faire :
Prends tes responsabilités !
Ta tendre Elfe."
Sous le choc de cette nouvelle, Kyo ne pu répondre. Il conserva néanmoins la lettre à l’abri, au cas ou un jour, il aurait le courage d'assumer la requête de l'elfe. L'année s'écoula, et kyo reçu une seconde lettre. Elle provenait de Gaiapolis. A peu de chose près, sa conquête gaienne déposait la même requête auprès de Kyo. Celle-ci avait une petite fille de 2 ans, prénommé Kyozan.
Comme la précédente, Kyo la mit de coté.
Mais il fut à peine étonné quand quelques mois seulement après, il reçu une nouvelle lettre. Celle ci avait été écrite par une sirène. Une talatienne de Nami avec qui il avait passé quelques semaines sans voir la lumière du jour. Cela remontait à moins d'un an. Elle aussi avait un bébé, mais il n'était pas encore né. Elle avait décidé de l'appelé Kyokou afin de lui insuffler la bravoure de son papa. Comme les autres, elle demandait à Kyo d'assumer son enfant.
Il s'était mis dans de beau drap. Son rêve d'avoir un enfant, un garçon était devenu cauchemar en ayant alors trois filles !
Mais tout n'était peut être pas perdu. Kyo écrivit 3 lettres identiques qu'il leur envoya à toute les 3.
Elle disait ceci :
"J'ai commis des erreurs et je suis à présent près à les assumer. Je ne vous demanderais qu'une chose. Élevez votre enfant jusqu'à ses 20 ans. Faites en sorte de lui enseigner une discipline de combat.
Puis, pour son 20e anniversaire, envoyez la au Village du Preux, près d'Almace. Je m'occuperais d'elle comme il se doit. Comme le mien, son nom restera dans les esprits !
Kyo"
Les trois femme s'exécutèrent. Kyohiiko, l'elfe devint une Prêtre, avec la volonté de panser les blessures de ses amis. Kyozan, la gaienne s'orienta sur la voie sacrée du Gardien, pour protéger ses êtres chers et Kyokou, la sirène apprit les technique d'Assassinat. La rage au ventre, elle développait un sens de la destruction assez effrayant.
A leur 20e anniversaire, comme demandé, les jeunes femmes furent envoyée au village de leur père. Kyohiiko dû attendre 1 an pour se voir rejoint par sa soeur Kyozan. Comme Kyo ne se montrait pas, elles durent interroger les habitants.
La vérité était bien en dessous de leurs attentes ! Cela faisait déjà trois ans que Kyo avait succombé à l'infection dune vieille blessure. La gangrène l'avait empoisonnée.
Ne sachant que faire, kyohiiko et kyozan demandèrent à voir les affaires de leur père. Peut-être leur avait-il laissé des instructions.
Mais au lieu de cela, elles trouvèrent les lettres que leurs mères respectives lui avait envoyé bien des années plus tôt. C'est ainsi quelle apprirent qu'elles étaient 3.
3 soeurs dont le prénom commençait par "Kyo".
Fière malgré tout de porter ce nom et envieuse de la carrière promise par leur père, elle restèrent au village pour s'entrainer en attendant leur soeur cadette.
A 3, elles seraient plus fortes.
A 3, leur nom aurait plus d'impact dans la mémoire des habitants de ce Monde Parfait.
A 3, rien ne pourrait les arrêter...
Leur aventure ne faisait que commencer, et Ôh combien longue serait-elle !
Vous comprendrez donc que le fait qu'elles s'appellent toutes les 3 Kyo~ n'est pas cause de schizophrénie de ma part, mais d'un simple effet RP ^^
Commençons donc, par le commencement :
Kyo, Origines
Kyo était un homme d'aventure qui parcourait les continents en quête d'émotions fortes et de monstres toujours plus forts à affronter. C'était un humain fort et habile qui maniait l'épée comme personne. Il était le champion de son village et nul autre habitant n'avait osé le défier pour prétendre à son titre.
Comme il voyageait beaucoup, il n'avait pas de port d'attache et donc pas de femme, ni de pas famille. Il était donc libre de s'offrir les délices de quelques nuits avec les jolies habitantes de villages traversés.
A chaque visite dans un nouveau pays, il s'autorisait une halte à la capitale et charmait une jeune et belle femme. Il lui suffisait généralement de raconter quelques unes de ses aventures en terre hostile pour la conquérir. Jamais plus d'une a la fois, Kyo était un Don Jean, pas un goujat !
Puis après ses quelques jours à quelques semaine passé en bonne compagnie, il repartait.
"L'aventure m'appelle, disait-il. Mais je ne t'oublierais jamais, beauté."
Il oubliait toutefois de préciser qu'il avait déjà dit cela à toutes ses précédentes conquêtes et qu'il ressortirait encore le même refrain, une bonne centaine de fois.
Après des années de quêtes, de batailles épiques et de débauche, Kyo était las. Son corps sentait le poids des années, il 'était plus tout jeune. Et les blessures qu'il avait subit l'handicapaient beaucoup. Désormais, il ne pourrait plus combattre, ce serait trop suicidaire.
Il réfléchit et fit le point sur sa vie passée. Il observa ses mains abîmées par les nombreuses batailles. Elles avaient tant combattu, tant saignées et tant peloté. Maintenant, elles ne désiraient qu'une chose : poser ses paumes sur la peau douce d'une seule et unique femme.
Il décida de rentrer chez lui, dans son village natale. Là bas, il se trouverait une femme. Une femme qui ne serait pas qu'une conquête. Une avec qui il pourrait finalement avoir un enfant, un garcon pour qu'il suive ses traces et devienne à son tour un fier combattant.
Seulement voila, arrivé au Village du Preux, ses exploits l'avaient précédé... Et sa réputation de coureur de jupon aussi. Aucune femme de voulu de lui.
Kyo le guerrier que rien n'avait pu détruire, l'homme a qui aucune femme ne pouvait résister finirait-il ses derniers jours seul ?
Ne pourrait-il jamais transmettre son savoir sur le combat à un enfant ?
Tout ce chemin parcouru pour finalement tomber dans l'ignorance de l'oubli...
Kyo fut dépité et pendant un instant, il songea au suicide, pour partir au sommet de sa gloire et ne pas se laisser le temps de dégringoler la pente raide qui se profilait a l'horizon.
C'est alors que son souhait fut exaucé. Pas celui de partir au sommet de sa gloire, mais celui d'avoir une descendance à qui transmettre son savoir. Le coursier du village vint frapper à sa porte pour lui annoncer qu'une lettre au parfum embaumant venait d'arriver pour lui au bureau des courriers.
Ni une ni deux, Kyo se précipita. La lettre d'une femme ne pouvait être que de bon augure !
Une villageoise cédait-elle enfin a ses charmes et le lui faisait-elle savoir par une lettre d'amour au parfum d'herbe d'or ?
La lettre disait ceci :
"Très cher Kyo,
Te souviens-tu de moi ? Ton "Amour" de Plume, celle qui était la prunelle de tes yeux et l'amour de ta vie ? Te souviens-tu ?
Moi, je me souviens de toi, de tes promesses et de tes mensonges.
Ta réputation t'a suivie de près et crois-moi, j'avais décidé de t'oublier.
Mais aujourd'hui, il n'y a pas que moi qui suis concernée. Tu m'as donné un enfant, Kyo. Un magnifique bébé qui porte ton sourire. Je l'ai nommé Kyohiiko en ton honneur. Même si tu as bafoué ma confiance et mon amour, tu n'en reste pas moins un grand homme. Tu as accompli de grandes choses et tu resteras à jamais dans mon coeur.
Si je t'écris cette lettre aujourd'hui, c'est parce que ma petite Kyohiiko de 3 ans me demande qui est son père, et je lui doit une réponse. Je n'ai qu'une requête a te faire :
Prends tes responsabilités !
Ta tendre Elfe."
Sous le choc de cette nouvelle, Kyo ne pu répondre. Il conserva néanmoins la lettre à l’abri, au cas ou un jour, il aurait le courage d'assumer la requête de l'elfe. L'année s'écoula, et kyo reçu une seconde lettre. Elle provenait de Gaiapolis. A peu de chose près, sa conquête gaienne déposait la même requête auprès de Kyo. Celle-ci avait une petite fille de 2 ans, prénommé Kyozan.
Comme la précédente, Kyo la mit de coté.
Mais il fut à peine étonné quand quelques mois seulement après, il reçu une nouvelle lettre. Celle ci avait été écrite par une sirène. Une talatienne de Nami avec qui il avait passé quelques semaines sans voir la lumière du jour. Cela remontait à moins d'un an. Elle aussi avait un bébé, mais il n'était pas encore né. Elle avait décidé de l'appelé Kyokou afin de lui insuffler la bravoure de son papa. Comme les autres, elle demandait à Kyo d'assumer son enfant.
Il s'était mis dans de beau drap. Son rêve d'avoir un enfant, un garçon était devenu cauchemar en ayant alors trois filles !
Mais tout n'était peut être pas perdu. Kyo écrivit 3 lettres identiques qu'il leur envoya à toute les 3.
Elle disait ceci :
"J'ai commis des erreurs et je suis à présent près à les assumer. Je ne vous demanderais qu'une chose. Élevez votre enfant jusqu'à ses 20 ans. Faites en sorte de lui enseigner une discipline de combat.
Puis, pour son 20e anniversaire, envoyez la au Village du Preux, près d'Almace. Je m'occuperais d'elle comme il se doit. Comme le mien, son nom restera dans les esprits !
Kyo"
Les trois femme s'exécutèrent. Kyohiiko, l'elfe devint une Prêtre, avec la volonté de panser les blessures de ses amis. Kyozan, la gaienne s'orienta sur la voie sacrée du Gardien, pour protéger ses êtres chers et Kyokou, la sirène apprit les technique d'Assassinat. La rage au ventre, elle développait un sens de la destruction assez effrayant.
A leur 20e anniversaire, comme demandé, les jeunes femmes furent envoyée au village de leur père. Kyohiiko dû attendre 1 an pour se voir rejoint par sa soeur Kyozan. Comme Kyo ne se montrait pas, elles durent interroger les habitants.
La vérité était bien en dessous de leurs attentes ! Cela faisait déjà trois ans que Kyo avait succombé à l'infection dune vieille blessure. La gangrène l'avait empoisonnée.
Ne sachant que faire, kyohiiko et kyozan demandèrent à voir les affaires de leur père. Peut-être leur avait-il laissé des instructions.
Mais au lieu de cela, elles trouvèrent les lettres que leurs mères respectives lui avait envoyé bien des années plus tôt. C'est ainsi quelle apprirent qu'elles étaient 3.
3 soeurs dont le prénom commençait par "Kyo".
Fière malgré tout de porter ce nom et envieuse de la carrière promise par leur père, elle restèrent au village pour s'entrainer en attendant leur soeur cadette.
A 3, elles seraient plus fortes.
A 3, leur nom aurait plus d'impact dans la mémoire des habitants de ce Monde Parfait.
A 3, rien ne pourrait les arrêter...
Leur aventure ne faisait que commencer, et Ôh combien longue serait-elle !
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Pas mal, pas mal : Super0
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super histoire j aime:)0
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Merci beaucoup[SIGPIC][/SIGPIC]0
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