[Feedback] Histoire de femmes

surmulo

Je viens de faire la quête (rouge), mais je n'ai pas lu le fils de discussion. Dsl si je dis ce qui l'a déjà été.

Les dialogues sont de qualité, avec un orthographe nickel. La ponctuation est bonne à quelques exceptions. La musique est adaptée et participe bien à l'ambiance. J'apprécie les deux voies possibles dans le sous-terrain.

Les points faibles :
Dans le dialogue avec Frinko une phrase n'en finit plus. Il faudrait la découper en trois phrase. Il suffit de remplacer certaines virgules par des points. Il ne faut pas avoir peur de couper. C'est l'inverse qui est gênant.

Ce qui me gêne particulièrement dans cette quête, c'est la supposition que le joueur est forcément un homme qui se nourrit de charcuterie et de bière et aime les femmes aux proportions de Barbie : femmes faibles aux épaules et bras plus que menu, avec un rapport taille/hanche = 1/3 et à grosse poitrine.

L'autre gros souci, c'est Orianna qui nous suit partout en flottant --> systématiquement au milieu du champ de vision. Sans parler du moment où je recul contre un mur et me retrouve avec le décolleté de la demoiselle sur 90% de l'image.

Quelques soucis dans le positionnement du mobilier :
- Le crochet à charcuterie flotte dans les airs.
- Les piles de bois sont encastrés dans les murs : dans le salon, dans la salle de la matrone (là ça passe), et dans la salle de l'étrange marchand où la pille est aussi encastrée dans la cheminée.
- Dans la chambre de la matrone, les chaises sont encastrées dans la table.

Une faute de grammaire :
La matrone dans sa chambre : "et goûté" --> goûter

Quand on passe dans le sous-terrain on se se retrouve dos à une grille, d'où on peut voir au loin l'autre bout de la carte. Il faudrait ajouter un fondu de profondeur, par exemple.

La position du feu de camp n'est pas adapté si on meurt avant. Mais si on meurt à la fin, ce qui est fort probable !, et que le feu de camp est au début, il faut refaire tout le chemin. Il faudrait structurer les cartes en boucles ou/et justifier des TP.

L'aubergiste a les bras dans le ventre. Je sais que ce n'est pas de la faute du fondeur.
Page 3 du dialogue, il faudrait ajouter plusieurs virgules.

L'étrange marchand > en réponse : "qui me l'a demandé de la goûter" --> qui m'a demandé de la goûter / qui me l'a demandé.

ksou

Coucou !

Je serais ravi que Brumeilde (et sa moitié) nous fasse le plaisir de leur présence mais je crois qu'elle n'est pas ici en ce moment.
Elle avait essayé de revenir et de se lancer dans une troisième histoire... Elle avait des soucis avec la réinstallation et il semblerait que celui-ci a eu raison d'elle ! (Car plus de nouvelles.)


Je crois que pour le fait qu'il s'agisse d'un homme qui aime...
=> Il faut plutôt le voir comme un rêve car la problématique se pose aussi pour la race.
Il faut le prendre comme Michel Sardou... "Dans un voyage en absurdie, que je fais lorsque je m'ennuie (enivre ici), j'aime imaginé ... ... ...

surmulo

Le côté jeu de rôle dans le jeu de rôle, je le conçois et je l'ai vu dans d'autres quêtes. Donc la première fois, jouer un homme (humain ou non spécifié) qui aiment les femmes, l'aventure l'alcool, la charcuterie... OK. Mais quand c'est à chaque fois la même chose, ça commence à me souler. Et hors des quêtes rêves ou autrement RPG², c'est très souvent les mêmes présupposés, en particulier sur le sexe et genre du joueur, parfois sur la race...
En anglais, c'est plus simple pour le genre, mais en français ça conduit à devoir choisir entre des formule pas top comme les "(e)" ou à supposer/imposer le genre du joueur. Et son orientation sexuelle, parce que tout le monde sait que TOUS les hommes aiment les femmes et que les femmes, etc. Moi ça commence à gonfler. Alors ce n'est pas que dans cette quête, loin de là, et c'est bien ça le problème. Mais il faut dire que cette quête y va particulièrement dans ce sens, avec ici la spécificité de design de mauvais goût des sirènes. Et le joueur est obligé dans les dialogue à dire qu'elles sont magnifiques.