Chroniques et nouvelles d'héroique fantasy

almerim

Salut je présente quelques textes que j'ai écris il y a quelques années ,désoler pour les fautes je suis pas expert merci.

Chapitre 1 : La Lune a deux faces


Elle le traquais depuis trois jours et autant de lunes ,rapide comme le vent parcourant les plaines,aussi légère qu’une fine pluie de printemps mais aussi redoutable que le tranchant d’une épée.
de fine gouttelettes de sueur ruisselais le long de son corps parfait,elle ne réfléchissait même plus a se mettre contre le sens du vent cela étais naturellement encrée au plus profond de son âme et de ses gènes. six cent siècles de chasse depuis l’arrivée sur ces terre de son premier aïeul six cent siècles que son clan bonifie la chasse et elle... elle est la meilleure dans se domaine.

il sent sont regard ...la mort rode et il le sait, tous les poils de son corps sont dresser, trois jours sans manger et pour seule eau un fond de gourde noirâtre.
A se faire traquer, ça réveil l’instinct et la il va lui en falloir.
il n’a pas le droit a l’erreur.. le moindre faux pas peu lui couter la mort et pas une rapide.. une lente et douloureuse.. c’elle que l’on a vraiment pas envie d’offrir même a son pire ennemi..

Cette foret la vue naitre; la même élever ou éduquer, au choix elle y a rit, pleurer ,danser ,chanter...tuer! Elle y connais toute les odeurs, elle peu reconnaitre chaque plantes, arbres ,arbustre à leur odeurs. suaves, lancinantes ou douces et aciduler mêlant parfum d’automne et fin d’été. elle se souvient de cette endroit.. elle aimais venir y jouer petite ,d’ailleur son front en porte encore un charmant souvenir, une légère cicatrice se dessine parfois à cette endroit entre ses mèches de chevelure d’un noir de jais. Mais cette nuit le jeux est différent ...elle est en chasse !!et la lune l’accompagne.

Cette foret l’étouffe! ses bras et jambes portent plusieurs estafilades du à c’est maudit buissons dont les pic long et effiler rentre dans la peau telle de vilaines aiguilles. A croire que le malheur le poursuit trois jours dans un enfer vert qui lui draine sa vie par tout les pores de la peau .les quelques sortilèges qu’il se souvenait dans ce début de folie c’étais montrer inéficasse en c’est lieu.Il se dis que ici réside quelque chose de bien plus ancien... Cette maudite pleine lune lui rappel a quel point il est vulnérable et pour la première fois depuis très longtemps il se mit a prier de toute son âme.



Et la lune se teint de rouge....

almerim

La pluie tombait drue, une pluie froide et poisseuse de celle qui vous glace jusqua l’os, qui s infiltre insidieusement même dans le tréfond de la laine la plus épaisse.
Drapée dans une longue capuche de lin noir sans age au bords dépouillés par le temps, une vaste silhouette ombreuse se détache de se brouillard .Les naseaux de sa monture crachant une épaisse condensation grisâtre dont les traits sinueux se mellent aux voluptes de brume pour crée d’étranges formes dansant autours de cette masse de muscles sombres.

Voila deux années maintenant qui l’avais quitter la grande citée de Cyrgë la Nouvelle ,Beautés au tours immenses et éternelles, ou de gigantesques fontaines d’eau limpide et fraiche revigorant les corps fatiguées offrant quelques bénédictions.
Citée de science et d art ou divers herboristes, magiciens et clairvoyant des plus grandes maisons prodiguent soins et conseils .

Ah !Cyrgë la belle ,comme la nomme les bardes. réchauffe les cœurs valeureux et apporte longue vie a qui y vie et la chérie...
Lui ne comptais plus les jours depuis qui l’étais partis vers le sud sans but précis ou un but qui n’ose encore s’avouer. Il était puissant et aimé de tous,porté en héros lors de la guerre contre les hordes du seigneur démon Amon Dasül le noir, porteur de Irkuskach la folle, épée terrible qui sema dix milles ans de terreur dans les terres sombres d’Amon rikül.
Il fut celui qui brisa l’épée maudite ...

L’homme des légendes ,le détenteur de lumière .

Oh oui ..il était chérie de tous et tous le saluait et l’acclamait a son passage, mais toute gloire si honorifique fut elle à un cout... et quelque chose en lui étais brisée.
Il avait vu tant d’horreurs dans le domaine de la folie du démon ,tant d’ignominies et de vice...non pas chez les démons promptes a cela même, mais bien chez les hommes..
Ses propre frères sous la peur se donnant au mal infâme et sans retour et lui même fut prêt de douter de la lumière ainsi que de sa foi.

Est ce la foi qui guida sa main et l’épée blanche nommée depuis cette acte «la libératrice d’argent»? ou bien la folie et la peur fourmentée par le démon et c’est légions? Même son âme ne le sait et son cœur ne saurait le dire.

Une nuit peu avant son départ de la dite Belle Cyrgë, plongée dans un sommeil épais et noir ,tourmenté par une vision de vide et d’ocean a perte de vue ,il eu une vision étrange.. Cette vue d’ocean se changea enfin. En effet cette vison d’eau et de vide le hantais depuis sont retour des terres noires.
Son esprit sembla défiler le long de cette océan opaque et tourmenté et accélérer a une vitesse folle plus rapide que n importe quelle créature pourvu de la faculté de voler. D’un coup tous passa au vert,un vert sombre intense,profond ,moite a perte de vue. Dans toute c est teinte grasse et suave se dessina deux yeux amandes, sauvage ..non pas bleu ,mais d’un azur cerclée d’or au reflet émeraude ,toute la profondeur d une foret sans age dans les pupilles.

Quand il les vit Almerim car la étais et ai son nom! Almerim Melqui haut connétable de l’orde d argent détenteur d’Alvenir la blanche dite «la Libératrice» fut subjugué. Lui que même le démon ne fit pas défaillir ,se senti se perdre dans c ‘est yeux si beau si animal si jeune et pourtant si ancien comme le plus profond coeur d’une foret primaire.C’est yeux appartenais a une femme. Il en était sur et cette femme savait se qui tourmentais son âme, il l’avais lu dans son regard l’avais senti au fond de ses tripes au plus profond de son etre .
C’est yeux l’avais marquer... !! elle avais apposer sa marque en son âme et serait prêt a être chassé par tout les démons des quatre vint huit chambres D’Ulguj si il était sur de pouvoir revoir c’est yeux joyaux au moins une fois....

Il parti a l’aurore quand la rosée encore fraiche accoupler a la sueur de son cheval semblait le faire fumer de toute part .Il pris soin de retirer ses armoiries, il pris juste avec lui son épée inséparable gardienne d’argent, la chevalière de son ordre pour lui rappeler malgré tout qui il est .il se vêtit d’une légère maille recouvert d un pourpoint de cuir robuste finement décorer selon l’art en coutume ,recouvrant son corps d’une longue cape de lin a capuche sombre dissimulant son beau visage et ses yeux noir couleur ébène .

Il prépara sa monture avec une solide selle et de chaud tapis de monte, il pris un arc léger quelques flèches, différent pièges et colibet a gibier, de quoi pécher et faire du feu bref tout se qui fallait pour un long voyage et pouvoir subvenir a sa faim. Son regard se porta enfin sur un livre épais au reliures d’or d’argent et de nacre maintenus par une chaine d’argent blanc solide empêchant qui ne connaitrais les mots sacrée d’en lire le contenue.Son libram.. en lui réside une grande partie de la sagesse magique transmise par ses ainées a travers les siècles .Les gens de son ordre le porte souvent chaine atour du cou ou enlacer autours de la taille en combat et son réservé aux élites de l’ordre d’argent de Cyrgë.

Il passa doucement ses doigts fin et long sur les reliures de nacre du livre Saint s’arretant et fixant l’entaille sur son bord se souvenant comment plus d’une fois il l’avais sauver au cours de nombreuse batailles en terre profane. Malgré son habilitée et sa faciliter a manier la Claymore, il avait garder des mains d’artiste et non de guerrier et plus d’une belle gens le prenait pour quelque descendant de grande famille D’Ilthem premier grand peuple doué de longue vie au trais fins et beaux, grand artiste et constructeur qui forgèrent le premier monde des hommes.

Il se décida et entouras la taille de la longue et puissante chaine d’argent blanc et maintien le libram en son flan ,dissimuler par sa longue cape a capuche sombre ...il jeta un dernier regard a Cyrgë la belle .
Repos de tant d’ame ..gardienne des art et lettres et beauté parmis les tours effleurant les étoiles et s’en alla pour ne plus jamais la revoir...



Un soleil sans lumière se leva....


Chronique D’Aeiln Melqui

almerim

La faim le tiraillais .
Voila deux bonnes semaines qu’il n’avait croisé âmes qui vivent même pas quelque gredins ou égorgeur de grand chemin, juste de la pluie et de la pierre...La pluie il pouvait s’en accommodé mais son estomac désirait autre chose que de la roche.

Son esprit perdu dans quelques fabuleux banquets ou chevreuils et faisans se baignaient dans des bains de pommes de terre agrémenté de cascades rubis des plus délicieux vins et nectar, ne remarqua pas de suite les ombres mouvante au contours écharpé par cette pluie brumeuse.

Quand il s’apercut de leur présence une trentaine de mètres les séparait, il ne s’affolat pas .
En effet en un éclair de temps il avait analysé la situation ..de petit silhouettes soutenaient des ombres courbés.. nul hommes d’armes plutôt un groupe de vieillards et d’orphelins fuyant cette endroit stérile se dit il.

Quand ils passèrent a son niveau il fut pris d’un choc ,en effet plus d’un semblait avoir les rétines des yeux d’un blanc laiteux et semblait avancer comme quelques soulard aguard .il se prit a interpeler un des vieillard .

«Ola grand père!» il mêla le geste a la parole du poing au cœur.

«Ou mène tu cette troupe de vieillards et d’enfant?» il enchaînât
.
«Point de village dans cette direction juste de la pierre et des pierre encore plus grosse.

le vieillard lui jeta un regard plus froid que la pluie et la pierre sur lequel son dos c’était surement tasser.
Il ouvrit sa bouche et révéla des dents noirâtres et une haleine a faire pâlir un mort ,il crachat au sabot du cheval et se détournât reprenant son chemin comme si de rien n’étais.
(la courtoisie régional j’imagine) pensa Almerim tout en tapant d’affection l’encolure de son cheval, le flattant de ne pas avoir envoyer un coup de sabot a se vieux fou édenter.

A se moment un enfant s 'approcha ,il devait avoir vu dix printemps tout au plus, dure de juger sous la couche de crasse qui le recouvrait .
Almerim le jugea et lança un sourire au lèvres
.
«toi aussi tu va me cracher déçu pour me saluer?» l
’enfant leva la main dans sa direction se mit a sourire et dit. «fui avant la nuit car a coter l’enfer sera un paradis».
Ses yeux commencèrent a coulé vers un blanc laiteux ,aucun doute de la magie profane était a l’oeuvre..
C’est une puissante magie mais sa source n’est pas dans se groupe ,elle est a bien de lieux même d’ici .l’enfant n’avais pas l’air d’ètre trop atteint par rapport aux autres du groupe qui airait hagard et avançait péniblement comme des créature amorphe et Almerim connaissait des sort d’expiation de la magie profane .

Il descendit de son cheval , porta son libram a son coeur et sa main sur le front de l ‘enfant ,il prononçât les incantations et une douce lumière semblait naitre du visage de l’enfant tandis que c’est yeux reprenaient leur couleur normal ,l enfant s endormit de suite comme si il s’apaisait enfin.L’immense chevalier leva la laine qui couvrait le torse de l’enfant, en effet une rune de voyance y avait été dessiné ..Cela permettait au sorcier utilisant cet magie interdite de voir a travers les yeux du porteur de la marque .

Il fit mettre l’enfant en croupe ,il n’était pas plus lourd qu’un sac de plume. mal entretenue avait du être son estomac depuis quelques jours voir quelques semaines , les stigmates de la fatigue mêler a se climat était propice a la mauvaise magie. le pauvre enfant avais fait preuve d’une grande résistance au noir sceau qui brulait son âme comme milles braises des enfers d’ou il fut née,plus d’un homme de bonne taille y aurai déjà succomber et aurai muté en quelques goules ou démons asservie a quelques noirs sorciers ou liches perdu au sommet d’une tour ou dans le plus bas fond d’un vieux donjons lugubre.

almerim

Ici est la transcription sur papier du début de ma campagne de Donjons et dragons,certain des noms de personnages peuvent être croisé en jeux (Beholder).

C'est en cours d'écriture pour la suite car mes joueurs m'aident a me rappeler d'un maximum de choses .

Merci.


Chroniques de Fearün.


Chapitre 1 : aux croisement des chemins.


La matinée semblait enfin s’éclaircir après une nuit et une aube sous une pluie drue et fournis de Printemps .

La nature , la faune semblait se remettre a vivre et le chant des oiseaux semblait chanter le retour du soleil.

Les chemins encore boueux étaient parsemer de longue trancher creuser par les roues des chariot et caravanes marchandes.
En effet cet axe du Cormyr est réputer pour drainer toute sorte de marchandises et de personnes étranges venu des quatre coins de Faerün.
De plus il se situe a peine a deux trois jours de marches de Suzai ,Grande citée et port Royal ou siège le roi Azoun entourer de sa Garde Pourpre dont il est dit que le sang des anciens dragons du Cormyr coule encore dans leur sang.

En effet le Cormyr est aussi nommer le «pays forestier» .
Riche royaume!!Gouverner par Azoun IV dit «le Dragon Pourpre».
Ses régions sud ,Est et nord ouest abrite de nombreuses fermes qui alimente le commerce.La région centre est toujours boisé,ces foret soigneusement entretenues par les forces du Roi.
La région regorge toujours de bois de qualité et de gibier .De plus ,le Cormyr occupe également une position stratégique sur les routes du commerce venant des citées de la Mer de la lune au Nord Est ,des Vaux a l’Est,de la mer intérieur (sur laquelle il possède des ports important ,Suzail et Marsembre),ainsi que des terres de l’ouest,du Nord ouest et du Sud _particulièrement les riches citées états et les royaumes de la cote des épées.

Jeune apprenti fraichement diplômé de l’académie des mages de Suzail en ce printemps de l’année 1321, Ryakan arpentait les routes du royaumes sur les ordres de ses supérieurs ,des détails il n’en avait que très peu et ses mentors avait la fâcheuse habitude de parler par énigmes..Quand bien même il demanderait un quelconque verre d’eau ,si la formule et les vers ne prête pas a montrer son intellect supérieure il finirait surement la gorge sèche.

Cette pensée le fit sourire intérieurement au même moment ou un doux rayon de soleil printanier vint l’éblouir et l’obliga a rehausser son chapeau a pointe .

Une caravane marchande la prévenue qu’un charriot de transport se rendait a Waymouth en se jour et devait passer avant midi sur cette portion de route,cela lui épargnerait une demi journée de marche et sa il s’en félicitait (mes pieds ne sont pas fait pour être malmener ou crotter ils ont d’autre projet plus royal et il se remit a rêver d’ètre le mage de la cour ,maitrisant les plus beau et puissant sorts ,faisant fondre le cœur des femmes et offrir jalousie a tout les hommes du royaumes).

Perdu dans ses pensées il ne vit pas le charriot de transport arriver dans son dos qui ne manquât pas de l'éclabousser d’une jolie flaque de boue salissant sa robe et ses chausses.

"Mais vous pouvez pas faire attention!! ma belle robe de l’académie..la voila toute crotter"

"Si je doit faire attention a toute les flaques d’après pluie sur un chemin boueux ,je suis pas prêt d’avancer mais veuillez accepter mes excuses si cela peut vous faire plaisir ,il serait dommage de chercher querelle par un si beau soleil."

"En effet je vous l’accorde, dite moi seriez vous le charriot que j’ai ouille dire qui transporte contre somme les noble âmes a Waymouth ?"

"En effet cela vous fera 20 pièces de cuivre noble mage."

Celui si tendit une grosse main caleuse devant le visage de Ryakan qui pus se rendre compte que si il restait plus de quatre dents au cocher cela devait relever du miracle.

"Voila ta dime cocher ,maintenant mène moi a bon port."

A l’intérieur de la caravane notre jeune apprenti découvrit deux étranges personnages parmi les gens présent , sa curiosité le poussa a lancer la conversation avec l’un de eux.

<Bonjour je me présente Ryakan jeune apprenti mage ..parti sur les routes pour parfaire mes illustres savoir et pouvoir mystique!!>

L’étrange créature a l’odeur forte et a la large corpulence se leva et quel ne fut pas la surprise de notre apprenti quand il découvrit que celui si était de la fameuse race ancienne des «Nains».

"Tohhh!M’ nom c’est Hulfrick Fendpierre mon garçon!! d’ la grande famille des Fendpierre de la cité de Mirabar."

Il finit sa tirade par un rot sonore relevant des arôme de malt et de houblon ,notre jeune apprenti se dit qu’il devait être au minimum a sa onzième chopine de Bière de la journée et tout sa avant midi.

l’autre personnage qui avait attirer son attention se trouvait un peu dans le fond du charriot et malgrer sa taille assez forte n’avait attirer son œil que bien tard,chose étrange celui si avait le visage dissimuler sous une capuche et un masque alors que soleil brillait dehors..

Il interpella le jeune mage en pleine discussion avec l’étrange nain ..discussion relatant les exploits des ancêtres d’Hulfrick et de la grande cité de Mirabar.

"Que cherches tu ?mage!"
Interloqué par le ton plutôt discourtois de l’ être masquer, le jeune mage ne répondit pas de suite et se perdit dans une sorte de rire confus.

"je vous l’ai expliquer" dit il"je sort tout juste de l’académie et j’arpente le royaume pour étoffer mes connaissances,si cela ne vous est gré je vous prit de ne pas m’importuner et encore moins quand je suis en pleine conversation.."

almerim

L’étrange personnage retournât se poser dans son coin perdu dans quelques sombre pensés mais prenant soin de rester attentif a tout se que son oreille pourrait récupérer.

Le chemin se poursuivit dans cette ambiance entre, méfiance, découverte et formule de politesse .
Ryakan apprit que Hulfrick était marier avait six enfants dont les noms n’était pas rester bien longtemps en tête de notre apprenti mais il retenue le nom de sa femme :Olga .

Il se la représenta en tête , une sorte de Hulfrick au féminin et il dut retenir un rire lorsque qu’il lui affréta une barbe ,il se dit que si un jour il pourrait ,il lui poserait la question.
Il apprit que l’étrange nain venait vendre du minerai de sa mine dans la région.

L’autre mystérieuse créature se présenta aussi mais resta ensuite silencieux ,il prétendît se nommer Cordosa.

En milieu d’après midi après avoir traversé beaucoup de léger bois et verger et de nombreux champ a récolte ,la caravane traversa un bosquet assez épais.
Quand tout d’un coup surgit des fourrer un humain d’une cinquantaine d’années a la panse imposante,les cheveux hirsute et le visage rouge et tremper de sueur .
quelque gouttes de sang perlait de son front et de ses avant bras,surement dut a sa course dans les fourrer épineux.

Il interpella la caravane.
"Au secours !!aidez moi par pitié on attaque ma ferme!!!"

"Combien sont ils?" demanda Cordosa.

"Vous pensez que j’ai eu le temps de compter,ils pillent tout aidez moi par pitié!!!".

"Quelle sortent de créatures?"

"Des Gobelins et un gros Orc ou je sais pas quoi,vite venez je vous montre ou c’est!!"

Le voila !!le moment que j' attendait de prouvez ma valeur de futur mage royale .
Ici commence ma légende se dit intérieurement Ryakan .

Il sortit sa dague et se rua a toute jambes derrière l’illustre inconnu..
Voyant le mage se jeter a toute jambes dans la foret celui qui prétendit se nommer Cordosa tenta de l’interpeller

" Arette!!!" mais trop tard le jeune mage disparut derrière les fourrer .

Quelle stupidité, c’est peut être un piège se dit il.
Il jeta un coup d’oeil a Hulfrick qui instantanément se jeta dans les dense fourrer sombre .

Qu’il en soit ainsi! se dit Cordosa et il pria Malar tout en se jetant dans l’enfer vert qu’il aimait tant.

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Chapitre 2: Pluie de coups


Il rattrapât rapidement Hulfrick, qui en tant que Nain était plus habituer aux cavernes et aux grottes cas la foret luxuriante et son ouïe fine lui fit découvrir des jurons Nains encore inconnu a ses oreilles.

Mais c’est pour le mage que ses pensées inquiète ,il avait une bonne centaine de mètres d’avance et n’as que peu l’air de se soucier de se qui se trame la haut a la ferme..
Enfin la foret laissa place a de grande étendu agricole, et en effet une lourde fumer semblait venir de la ferme a trois cent mètres de la ,tout comme le prétendu fermier les avait prévenue.

En tête de file Ryakan le Mage ne semblait craindre nul danger,il se voyait surement en guerrier impitoyable ou tel un archimage pulvériser ses ennemis en une seule formule ...
C’était oublier sa réel force et cette expérience le lui rappellera bien avant la fin.

Arriver en premier sur les lieux quel ne fut pas sa surprise en découvrant que une jolie troupe de Gobelinoide mener par un terrible Gobelours les attendait toute armes lever.

L’énorme gobelours poussa un juron dans sa langue ignoble ,une sorte de gargouillis mélanger a une mastication immonde et charga Ryakan avec une énorme Morgeinstein a pointe rouiller.

Le sol trembla sous sa charge féroce son visage sauvage relevant d’énorme crocs acérer ,Nul doute que Ryakan est dans les gout culinaire de l’énorme créature a en voir l’appétit bestial qui anime le regard de cette masse de muscle et de rage.

Le jeune mage compris bien vite sa terrible erreur au moment ou l’énorme Boule de metal a pointes rouiller de la taille d’un homme s’abbatit avec rage sur lui...

Cordosa habituer des forets , sur de sa vitesse et de sa force rattrapât vite le mage mais il eu bon soin de rester en arrière pour jauger la force de l’ennemi ,il encocha une flèche ,vida son esprit ne faisant plus qu’une seule et même entité avec sa flèche et sa cible et il tira...

Hulfrick reconnu de suite ses ennemis ancestraux ,ennemis de sa race ,ennemis de son Dieu et nul hormis peut être une bière d’Olga ne l’aurait empêcher de charger dans se tas d’immondes créatures gobelinoïdesque .
Il charga en hurlant «Pour Moradin!!»

almerim

Voila ,le reste est en cours d'écriture .

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Merci;)