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[Événement] Rencontrez les vrais héros
xeltey
Member Messages: 558 Perfect World Team
Observez les balafres des héros de Neverwinter. Chaque marque est un chapitre dans l’histoire de leur vie, une aventure qui a laissé des traces. L’heure est venue de s’asseoir au coin du feu avec tous ces inconnus et d’en apprendre plus sur ce qui les a amenés jusqu’ici.
Aujourd’hui, nous partageons la biographie de votre personnage !
Prenez une capture d’écran de votre biographie en jeu ou écrivez-la sur un parchemin et faites-nous découvrir les étapes importantes de votre vie en tant qu’aventurier de Neverwinter.
Ce concours aura lieu du 20/02/2014 au 24/02/2014 à 14h00.
Votre créativité est la seule limite ! Seules deux règles sont à retenir :
Plus d'informations en cliquant ici
Aujourd’hui, nous partageons la biographie de votre personnage !
Prenez une capture d’écran de votre biographie en jeu ou écrivez-la sur un parchemin et faites-nous découvrir les étapes importantes de votre vie en tant qu’aventurier de Neverwinter.
Ce concours aura lieu du 20/02/2014 au 24/02/2014 à 14h00.
Votre créativité est la seule limite ! Seules deux règles sont à retenir :
- Vous devez envoyer une biographie.
- La biographie ne peut pas être une copie d’un texte existant sur un autre jeu, ailleurs dans Neverwinter, ou dans D&D.
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Sullin était un jeune elfe frivole et insouciant qui passa les premières décennie de sa vie à fêté la nuit à Myth Drannor. D'une noble famille du Coronal il n'avait pas à se soucier de rien. Une nuit, lors d'une de ces nombreuses fête où il buvait trop, des créatures qu'il ne saurait identifié ont tué presque tout le monde. Ayant reçu une blessure mortel à la tête, il fût sauvé de justesse par un prêtre de Sélûné. Le prêtre fut de son mieux, mais Sullin resta défigurer, perdant l'usage d'un œil.
Honteux d'être devenue aussi laid, il passa du temps avec le prêtre qui lui en apprit un peu plus sur Sélûné avant de lui dévoilé ce qu'il savait de l'attaque. Sullin était la cible a abattre lors de cette soiré et beaucoup d'effort avait été mit pour passer outre les défenses. Pourquoi ? il ne le savait pas. Le Sélunite lui donna quand même quelques indices. Myth Drannor n'étant plus sure, il décida de ne pas y retourné avant d'avoir mit au clair la situation.
Sullin partie donc pour Neverwinter à la recherche de réponse.
Depuis, Sullin a sue faire usage de sa grande dextérité et de sa proximité avec la nuit pour devenir un voleur redouté. Précipité dans les mésaventures de Neverwinter, il due mettre ses recherches de côté jusqu'au jour où il rencontra une envoyer de Sharandar. Il découvrit alors ce qui l'avait projeté sur la route de l'aventure : Sullin était originaire de Sharandar. Sa famille fût l'une des premières à quitté Sharandar lorsque Malabog commença ses attaques sur le royaume elfique. Malabog avait alors chargé l'un de ses généraux fomorians de traquer et de capturer les elfes ayant quitté le Feywild.
Sullin combat désormais à la fois les force de Malabog et de son alliée Valindra. Même si beaucoup de temps c'est passé, les cicatrices de Sullin sont toujours comme des plaits ouverte dans son orgueil, raison pourquoi on le voit rarement démasqué et en compagnie de d'autre gens.0 -
Recrutée par Bregan D'aerthe à Menzoberranzan, Xune est l'une des rares femmes à avoir exercé dans cette organisation. Issue d'une maison mineure oubliée et disparue lors des nombreuses luttes de pouvoir de la cité souterraine, Xune n'a pas été initiée à la prêtrise de Lloth et est devenue experte dans la discrétion par nécessité plus que par choix.
Exilée plusieurs décennies après le paria Drizzt Do'Urden, elle a erré tout comme lui des années dans l'Underdark.
Au cours de cette période son état mental se détériora considérablement au point que, désespérée, elle envisageait de se livrer aux prêtresses de Lloth, afin qu'elles mettent un terme à ses souffrances.
Comme elle faisait chemin vers Menzoberranzan, un puissant Illithid la réduit en esclavage. Son libre arbitre dévoré par la créature, Xune rejoignit les rangs de l'armée du monstre.
L'être avait en effet le projet de constituer une armée afin de lancer un assaut sur un gigantesque bastion duergar.
Orques, trolls, gobelins et autres ombres des roches chargèrent en première ligne pendant que l'elfe noire faisait partie d'un commando destiné à s'infiltrer derrière les défenses de l'ennemi.
Alors même qu'elle avait été sous le contrôle de l'Illithid, Xune avait mémorisé les traits du drider sorcier qui avait ouvert une brèche dimensionnelle derrière la triple enceinte du bastion.
L'hybride d'araignée et de drow avait hurlé une incantation d'une telle puissance que le cœur d'un svifneblin présent avait lâché sous les vagues d'énergies pures.
Une fois à l'intérieur, le commando s'était trouvé face à une dizaine de duergars déboussolés.
D'un mouvement du poignet, Xune avait projeté ses dagues enchantées sur les deux nains gris les plus proches. Alors que les dagues réapparaissaient dans sa main elle avait littéralement décollé du sol décrivant une symphonie mortelle de ses lames jumelles.
C'est alors que les choses s'étaient compliquées. Avertis de l'attaque de l'Illithid, le seigneur duergar
avait embauché Bregan D'aerthe pour sa défense personnelle.
Ainsi quand des dizaines de drows surrentrainés placés sous le commandement du lieutenant Kimmuriel Oblodra vinrent s'opposer à la progression du commando, le sort tourna en faveur des duergars.
Alors que les carreaux empoisonnés sifflaient dans l'air et que le sol entrait en ébullition sous les boules de feux, Kimmuriel repéra Xune qui combattait à elle seule trois soldats duergars.
Quand elle en vint à bout elle se trouva face au fringant lieutenant.
Les pouvoirs psychiques de ce dernier lui donnaient un avantage considérable sur ses adversaires, car il pouvait anticiper le moindre de leur mouvements. Cependant cette fois-ci il ne parvenait que de justesse à parer les attaques rageuses de la jeune elfe. En réalité le style de combat de Xune était beaucoup trop instinctif pour permettre au psionique de prendre un réel avantage.
De plus, Xune était une véritable beauté, même selon les standards elfiques, Kimmuriel tomba sous le charme...
Comprenant qu'il ne pourrait pas la vaincre par les lames, Kimmuriel changea de tactique. D'une rafale psionique, il étourdit Xune. Alors qu'elle était à terre, le lieutenant manipula un anneau en forme d'araignée à son index. Une toile magique en surgit et immobilisa Xune.
Sa tentative de prendre le bastion ayant échouée l'Illithid battit en retraite avec ses forces.
Kimmuriel grâce à ses pouvoir entra dans l'esprit de la jeune elfe et défit un à un les puissant liens d'asservissement que l'Illithid avait créé.
Cette opération était néanmoins tout sauf anodine, et de cela Xune garda une trace. Il s'agissait de bribes de souvenirs de Kimmuriel. Le psionique lui aussi aspira une partie de la mémoire de la jeune elfe.
Durant les années qui suivirent Xune exerça dans les rangs de Bregan D'aerthe et fut l'amante du psionique. Cependant chez les elfes les notions de vie et d'amour ne revêtant pas le même sens que chez les races à faible durée de vie, Xune et Kimmuriel prirent leur distance peu à peu.
En quête d'aventure Xune entendit parler des projets de l'archiliche thayenne et de son cercle de désolation. Certaine que de nombreux aventuriers n'allaient pas manquer d'affluer, elle décida de se diriger vers Neverwinter...0 -
(L'histoire est celle de mon Personnage Principal et de mon Reroll. Chacun ont une cicatrice à un oeil différent).
Morigan et Denris sont deux anciens mercenaires du Poing Enflammé. Parmi leurs confrères, ils étaient connus comme un binôme inséparable bien que leur amitié ai commencé sur un affrontement. Cette relation solide se traduisait tant au quotidien que sur le champ de bataille. Les compères combattaient constamment côte à côte.
Un jour, alors qu'ils avaient pour mission de détruire un camp de bandits, les deux guerriers revinrent avec un souvenir. En dehors des multiples entailles sanglantes parsemant leurs corps, ils venaient d'être éborgnés. Morigan avait perdu son œil droit et Denris, son œil gauche. Ainsi, au milieu de leurs camarades et devant leurs supérieurs, nos héros semblaient pouvoir succomber d'une minute à l'autre. Cependant, malgré leur apparence meurtrie, ils sortirent la tête du chef des brigands d'une besace pour la brandir aux yeux de tous. Nos deux compagnons avaient réussi. Par leur incroyable synergie et leur habitude à combattre côte à côte, chacun avait remplacé l'œil qu'avait perdu l'autre. En d'autres termes, ils s'étaient couverts mutuellement sur leur angle mort.
Cette persévérance et cette détermination face aux lames de l'ennemi leur valuent le surnom de "Parelame". Aujourd'hui, les cicatrices et leur œil morne témoignent de cet exploit.
Malheureusement, les règles du Poing Enflammé sont des plus strictes. Tout handicap entravant le service ou nuisant à la sécurité des hommes ne peut être accepté. Aussi, les officiers supérieurs jugèrent que les séquelles de nos héros les rendaient inaptes à une activité opérationnelle. Bien qu'il leur fut proposé des options de reclassement, les deux guerriers se sentirent insultés dans leur honneur. Ils quittèrent le Poing Enflammé, bien décidés à prouver qu'ils n'étaient pas finis....
Les récents évènements de Neverwinter et l'appel aux armes sont apparus comme une opportunité idéale pour ces amis en quête de défi....Ainsi ont-ils pris le bateau pour rejoindre la Perle du Nord....0 -
Né à Chuteneige dans les îles Moonshae, au large de la cote des épées ;Aarunthir fut arracher à sa famille le jour de ses 6 ans par un mystérieux inconnu qui l'emmena de force à l'autre bout du continent.
Son maitre, fantastique archimage Drow, était un exilé d'une métropole de l'Underdark depuis longtemps tombée en ruine. Il avait établi son repère à Raurin, le désert de poussière pas loin de la ceinture du géant.
Ce mage , d'une puissance peu commune et dont jamais personne ne put apprendre le nom, enseigna au jeune Aarunthir toutes les formes de magie que comptait les royaumes, de la démonologie à la nécromancie, mais le jeune Aarunthir développa une étonnante affinité avec l'art de la manipulation des éléments
Provoquant un orage qui dévasta un village entier à 8 ans à peine , il montra aussi une totale indifférence envers la souffrance que pouvaient provoquer ses cataclysmes élémentaires . Le jour de ses 12 ans, son maitre, sans crier gare le bannit dans les abysses , s'abstenant de la moindre explication .
Aarunthir en revint 3 années plus tard , animé par une rage meurtrière envers celui qui l'avait condamné à cet enfer mais une fois arrivé au repaire de son maitre, il dut se rendre à l'évidence, ce dernier était parti il y a bien des mois. Fouillant à la recherche du moindre indice, il trouva une petite note à moitié déchirée évoquant un lieu loin au nord. Le parchemin ne lui indiqua aucun autre indice hormis la mention du nom d'une magicienne, Valindra de Luskan.
Aarunthir se mit alors en route pour le nord, se promettant à lui-même qu'il n'aurait de repos que lorsqu'il pourrait enfin mettre la main sur son ancien mentor pour le torturer afin de pouvoir rassembler les pièces du puzzle qu'était devenue sa vie.
.Son corps, à jamais marqué par les sévices que quelques archi diables lui avait fait subir dans les abysses, il inspirait la terreur chez toutes les personnes qui croisaient sa route, de par sa simple apparence il provoquait crainte et dégout
Quelques récits relatent son passage dans quelques villes et villages de l'Est, mais on perdit toute trace de lui jusqu'à bien des années plus tard à son arrivée sur une plage non loin de Padhiver. C'est là-bas que le deuxième chapitre de son histoire allait commencer.0 -
Je me nome Cassi Hawklight,De la noble famille des Hawklight de Netheril et je vais vous compter l'histoire de ma déchéance et de ma renaissance.
Je suis la fille unique du général Stéphane Hawklight et de la duchesse Andréa Hawklight,autant vous dire que je suis née dans l'opulence et le luxe.
Mon enfance fut la même que celle des autres enfants issus de haute famille, je reçue une éducation littéraire, scientifique, religieuse mais aussi martial.
Ma mère nous quitta le jour de mon 12ème anniversaire, tuée par la chute d'un poulet tombé du sommet d'un rempart après qu'un enfant ait frappé dedans.
Mon père ne sachant comment s’occuper de moi il me confia à la seule institution en qui il avait confiance : l'armée.
C'est ainsi que le destin (et un poulet) me fit passer de la vie de noble à celle de militaire.
Par égard au grade de mon père, je ne suivis pas l’entraînement d'un simple soldat mais celui d'un officier.
Mon entraînement fut dur, d'autant plus qu'il ne ce passait pas une semaine sans que mon mauvais caractère, mon manque de tacts ou encore ma maladresse ne me fasse passer devant le commandant du camp d’entraînement qui finissait toujours par me forcer à faire l'ensemble des corvées de ma section, si ce n'est du camp dans son ensemble.
Cela ne m’empêcha pas après 4 ans et quelques incendies involontaires (du moins officiellement) de finir mon entraînement avec panache.
Mes péripéties durant mon entraînement me valurent le commandement d'une garnison perdue dans les montagnes.
Étrangement ces 3 années ou je combattis gobelins, troll et autres bestioles avec ma hache et ma vingtaine de
soldats furent les plus belle de ma vie.
Hélas pour moi elles s’arrêtèrent brutalement, en effet mon zèle fut remarqué par l’état-major qui décida de me récompenser en me donnant le commandement d'un groupe de la garde impériale avec comme ordre d'assurer la garde de la fille de l’empereur.
Les premiers jours ce passèrent bien mais comme vous vous en doutez monter la garde est bien moins intense que de combattre des gobelins, orcs , trolls et autres vermines, et j'en vain bien vite à m’ennuyer.
Heureusement pour moi cet ennuie fut de courte durée car alors qu'allais débuter ma deuxième semaine de garde un incendie accidentel impliquant un poulet, de l'huile de baleine et une torche... tenue par moi ce déclara dans le château. N'écoutant que mon courage je m’enfuie à toutes jambes mais pas sans avoir sauvé la princesse que je croisais par hasard sur le chemin de la sortie.
Pour cet acte de bravoure, l'on me donna une médaille ainsi que l'un des tigres de la ménagerie impériale puis l'on me bannie pour avoir mis le feu aux château ,failli tuer la famille impériale, détruit pour une fortune de bien divers et la mort de quelque serviteur...
Après avoir été chassée de mon pays, je connus une période d’errance faisant la mercenaire par si, la garde par la, récoltant blessure sur blessure,au plus profond du trou, je finis même par devenir danseuse « exotique » dans une taverne de neverwinter.
Mais même dans la nuit la plus sombre une lueur peux apparaître, cette lueur appelée Dunkel, un elfe noir lui aussi au fond du trou, il me raconta son histoire elle aussi pleine de malheur dut à la malchance et je fis de même. Je reconnu dans ça vie un écho de ma propre vie et lui vie dans la mienne un écho de la sienne, et cela nous donnas une idée : regrouper tous ceux que le destin avais jeté dans la boue pour leur offrir une chance de changer leur destin et d’accomplir des choses dont eux et le monde entier pourraient être fière(et ce mettre quelques piécettes dans la poche par la même occasion).
C'est ainsi que je devins la commandante de la compagnie de l'infortune, une guilde d’aventurier qui regrouperait tous les hommes et femmes que le destin aurait jeté à bat.0 -
Deshar, de son vrai nom De'shar'nin Ust'Nestra, est un très vieux guerrier drow exilé.
Quand il était encore au service de Lolth, De'shar'nin était un puissant guerrier respecté et l'aîné des Ust'Nestra. Les Ust'Nestra étant une puissante famille, sa mère était une des plus puissantes Mères Matrones de sa cité natale.
Son existence au sein des Ust'Nestra fut celle d'un drow, il apprenait tous les styles de combats possible, bien que son préféré restait l'utilisation d'une épée à deux mains géante.
Quand il eut 325 ans, il assassina sa mère et ses gardes pour le compte de sa soeur jumelle, Mezdraya. Suite à cela, il devint encore un peu plus respecté, étant devenu le bras droit d'une des dirigeantes de la cité. Les Prêtresses de sa cité lui confièrent une tâche plus qu'étonnante et dangereuse : Choisir des hommes et femmes pour l'aider, trouver un dragon blanc, le tuer, arracher un morceau de son coeur, et le ramener à sa soeur.
Deshar rassembla les cent meilleurs guerries de la cité, plus soixante puissants magiciens, et sa soeur lui accorda l'aide de quarante prêtresses de Lolth. Durant trente ans, il chercha un dragon blanc, et lorsque le temps fut venu, il le traqua.
Quand le combat s'engagea, le dragon blanc Neige utilisait sa forme humaine. Même sous forme humaine, il possédait les puissants attributs d'un guerrier utilisant l'antique magie draconique.
Une fois un quart des combattants morts, Neige prit sa forme draconique, majestueux, on aurait pu croire un nuage en forme de dragon plutôt qu'un réel dragon, dix fois plus grand que l'un des plus grands dragons noirs, Lorragauth. Le combat fut difficile, mais après une semaine de combat continu, il ne restait que trois personnes en vie : Deshar, une prêtresse et un mage. De'shar'nin les prit par surprise, les ordres de sa soeur avaient été d'utiliser ce combat pour augmenter son prestige en fabriquant un artefact, l'étoile des Glaces Eternelles, à partir du coeur de Neige et d'éliminer tous ceux qui pourraient survivre au combat. Il revint, victorieux, apportant le morceau de coeur à sa soeur.
Cent ans après ces évènements, Deshar finit par renier progressivement les dieux de la Seldarine Noire, sans qu'il ne sache vraiment pourquoi, plus il vieillissait, plus il réfléchissait, plus il savait que Lolth était mauvaise pour les drows. Il finit par se considérer comme un elfe noir, et non un drow.
C'est à peu près à cette époque qu'il entendit parler des Myieritari, drows guéris de leur malédiction par un puissant mage provenant de Myeritar. Alors qu'il planifiait un voyage pour rencontrer ce mage et se faire guérir, sa soeur eut vent de ses projets. Elle prétexta une mission pour le désarmer et l'abandonner dans un nid de driders.
Suite à cela, le caractère de Deshar changea du tout au tout, sous l'emprise de la fureur, il détruisit les driders, bien qu'il ait été défiguré et rendu aveugle pendant le combat. Par chance pour lui, parmi les nombreux styles de combats qu'il avait appris figurait le combat en aveugle.
S'échappant vers la surface, Deshar devint mercenaire et récupéra une puissante épée magique de la famille des Fléaux d'Araignée : le Fléau des Driders. Il se fit très vite une renommée et prit pour compagnon de route une étrange araignée, reniée par Lolth, qui semblait se nourrir exclusivement d'autres araignées.
Ainsi commença la légende du Drow tueur de Drows et de l'Araignée mangeuse d'araignées.
Tous les dix ans, un mystérieux assassin faisait son apparition, Irvin Oeil-d'Aigle, et décimait tous les compagnons de Deshar en le laissant pour mort. Après vingt-cinq ans, il décida de se diriger vers Neverwinter, à la recherche d'amis et de travail.0 -
Le jour de sa naissance, un aigle d’une blancheur immaculée était posé sur le toît de la maison familiale. Lors des premiers cris du nourrisson, l’aigle s’envola, décrivit cinq grands cercles au-dessus du logis en poussant son cri. Les villageois regardèrent ce phénomène étrange se demandant quel destin pouvait attendre le nouveau-né. L’aigle partit ensuite vers l’Ouest et on ne le revit jamais. Les parents interloqués décidèrent d’appeler leur enfant Thoronfain ce qui signifia « Aigle Blanc » dans la langue des anciens.
Elever sur l’une des îles de Moonshae dans une famille de guerrier, il apprit dès son plus jeune âge à manier les armes. Excellent à l’épée et à l’arc, il devient rapidement un combattant émérite.
Lorsqu’il atteint l’âge de 15 ans, un énorme dragon noir attaqua le village. La panique s’empara du village, les gens courraient dans tous les sens essayant d’échapper au monstre. Les guerriers du village réussirent à s’organiser, un grand groupe composé de fantassins et de très nombreux archers se dirigèrent dans la rue principale. Le dragon voyant cela fondit sur eux, la flamme qu’il cracha ravagea le groupe tuant la quasi-totalité des soldats et blessant gravement les autres. Alors qu’il allait faire un deuxième passage pour finir le travail, Thoronfain sauta d’un toît pour atterrir sur le dos du monstre. Mais le dragon le voyant arriver donna un coup de patte et envoya le jeune homme vers une forge. Thoronfain reprit rapidement ses esprits, il était légèrement blessé mais cela ne le handicaperai pas. Son regard se porta sur la femme et les deux enfants qui avaient trouvés refuge dans la forge. Terrorisés ils étaient incapables de fuir plus loin. Le dragon décidé à tuer l’insolent qui avait tenté de lui sauter dessus, venait de faire demi-tour. Thoronfain voyant le dragon arriver sur eux, attrapa une grande plaque de métal et couvrit la famille avec, il eut juste le temps de s’abriter dessous avant que les flammes embrasent la forge. La chaleur fut insupportable, et la plaque devient incandescente. Malgré ses gants, la douleur dans les mains du jeune homme était insupportable, le métal commençait à fondre. Il ne lâcha pourtant pas la plaque, tant que l’attaque du monstre ne fut pas terminée. Bien que l’attaque n’ait duré que quelques minutes, cela avait paru des heures à Thoronfain. Dès qu’il fut sûr que la famille ne risquait plus rien, il repoussa la plaque. Alors qu’il retirait ses gants devenus inutilisables à cause du métal fondu, la femme lui sauta au coup et l’embrassa pour le remercier, elle prit les mains de ses enfants et partit à travers le village à la recherche de son mari. Le jeune homme laissa son regard errer sur le village. Tout n’était que ruine. Il s’engagea lui aussi dans les rues à la recherche de ses parents. Il les trouva près de la maison familiale. Leur armure ne les avait pas protégées. Thoronfain s’agenouilla à côté des corps et recommanda leurs âmes à Tormite. Pendant sa prière, des larmes silencieuses coula le long de sa joue. Les survivants rassemblèrent les corps et donnèrent les derniers hommages aux morts.
Une fois la cérémonie finie, Thoronfain récupéra l’épée de son père et le bouclier de sa mère. Se tournant vers le ciel, il déclara :
- Je prends vos armes afin de vous venger et de protéger les personnes dans le besoin.
Le fait d’avoir protégé, cette famille avec cette plaque lui avait montré sa voie. Il voulait devenir une personne sur qui les autres pouvaient compter afin de les défendre. Alors qu’il était en route pour quitter le village, il trouva un aigle blessé. L’animal poussait des cris de défi afin de repousser cet humain qui osait s’approcher de lui. Thoronfain s’agenouilla et parla à l’aigle, le jeune homme lui parla de sa vie avant l’attaque du monstre et bien que les paroles n’avaient pas de sens pour l’animal, le ton qu’avait employé le jeune homme l’apaisa. Au bout d’une longue heure, l’aigle ne criait plus et Thoronfain put s’approcher davantage. Lorsqu’il atteignit l’animal, il remarqua qu’une de ses ailes était cassée et que certaines de ses plumes étaient roussies. Il fit une attelle afin de maintenir l’aile en place et prit l’aigle dans ses bras. L’aigle se remit rapidement de sa blessure en quelques semaines il fut capable de s’envoler mais il resta toujours aux côtés de Thoronfain, celui-ci l’appela Vorondil.
Pendant 5 ans ils voyagèrent dans des lieux maudits, ils affrontèrent de nombreux monstres sans retrouver le dragon. Puis un jour alors que le jeune homme était dans une taverne ; il entendit deux paysans parler d’un village voisin détruit par un grand dragon noir. Thoronfain s’assit à leur table et leur offrit un verre en échange d’informations sur ce dragon. L’un des paysans lui indiqua un groupe de colline où devait se situer l’antre. Thoronfain se rendit dans les collines et ne tarda pas à trouver la grotte où se terrait la bête. Il y entra cacher derrière son bouclier, mais l’antre était vide. Le jeune homme examina les lieux, il découvrit une corniche juste au-dessus de l’entrée. Il y grimpa et attendit le retour du dragon. Celui-ci revint dix heures plus tard. Prévenu par les cris de Vorondil, Thoronfain se mit en position. Dès que la tête du dragon passa l’entrée, Thoronfain le reconnut. Il sauta de la corniche, épée au poing et lame baissée afin de transpercer le dragon du premier coup. La manœuvre fonctionna, le dragon sentant le danger tenta d’esquiver l’attaque mais ne fut pas assez rapide. La lame s’enfonça jusqu'à la garde à la base du cou. Le dragon se cabra et éjecta le jeune homme de son dos. Thoronfain se releva et eut juste le temps de se protéger de son bouclier avant d’être envahi par un torrent de flamme. Heureusement qu’il avait fait enchanter son bouclier pour résister au souffle des dragons, car même ainsi la chaleur fut insupportable. Lorsque le feu s’arrêta, Thoronfain put voir le dragon le charger. Le sang coulait à flot de la blessure mortelle du monstre mais fou de rage celui-ci n’y prêtait pas attention. Le premier coup de griffe atteignit le bouclier. La Violence était inouïe, Thoronfain se retrouva repoussé contre la paroi. Il faillit perdre connaissance, son expérience du combat lui indiqua qu’il fallait se mettre en mouvement. Il roula sur le côté, bouclier levé pour parer toute attaque. Bien lui en prit car un coup de queue s’écrasa à l’endroit exacte où il s’était tenu quelques secondes plus tôt. Une attaque de Vorondil creva l’un des yeux du monstre mais un coup de queue le fit percuter la paroi et ne se releva pas. Le combat dura de longues minutes, Thoronfain parait la plus part des attaques mais certaines avaient déjoué sa défense. Un coup de griffe lui avait labouré le torse, un autre l’avait atteint au visage au niveau de l’œil droit, le sang le gênait pour voir les attaques du dragon mais celles-ci se faisaient plus rares et moins puissantes. Tout à coup le monstre s’effondra, sa respiration se faisait de plus en plus difficile mais son regard resta figé sur le jeune homme. On pouvait y lire toute la haine et le mépris qu’il lui vouait. Après quelques secondes la lueur disparut des yeux du dragon, Thoronfain avança jusqu’à lui et retira son épée de son cou. Il avait réussi à débarrasser le monde de cette terreur, il avait vengé son village, ses parents. Il alla voir Vorondil qui commençait à se relever, il n’était pas blessé. Thoronfain examina sa blessure et sut que son heure était venue à lui aussi. Il s’agenouilla face au dragon, planta son arme dans le sol et entama une prière à Tormite pour le remercier de lui avoir permis de tenir jusqu’à la fin du combat. Il s’écroula, vaincu par ses blessures lorsqu’un bras le rattrapa.
Une jeune prêtresse demi-elfe était proche de la grotte lorsque le combat avait commencé. N’écoutant que son courage elle avait avancé résolument vers la source du combat. Lorsqu’elle était arrivée à l’entrée, elle avait vu ce guerrier seul devant un énorme dragon mort. Elle n’en avait jamais vu de si gros, le guerrier semblait prier mais commençait à chanceler. Elle se précipita en avant et le rattrapa juste à temps. Elle lui fit face et aperçu l’étendue de ses blessures, elle poussa un cri de stupeur et se dépêcha de l’allonger sur le dos. Elle attrapa son symbole et commença à soigner ses blessures. Pendant l’opération elle regarda le lieu du combat pour trouver les compagnons du jeune homme, car personne n’était assez fou pour affronter seul un monstre pareil. A part un aigle en piteux état, elle ne vit pas d’autres corps et commença à se poser des questions. Alors qu’elle était dans ses pensées elle entendit une voix lui demander qui elle était, elle baissa les yeux et vit que le jeune homme avait ouvert les yeux.
- Je suis Silmer, une prêtresse de Kelemvor. Ne parlez pas et restez tranquille afin que je puisse vous soigner.
Après une heure de traitement, Thoronfain était de nouveau en pleine forme. Il remercia la femme et alla vers Vorondil, celui-ci était relevé mais semblait toujours un peu dans les vapes.
Ils décidèrent de retourner dans la taverne afin de se remettre de leurs émotions. Ils discutèrent longtemps, et Thoronfain proposa à Silmer de l’accompagner lors de ses voyages. La femme ne réfléchit pas longtemps et accepta la proposition. Après plusieurs années de voyage, ils entendirent que Neverwinter était attaqué, Ils prirent donc un bateau pour se porter au secours des habitants de la grande ville. Malheureusement leur bateau fut attaqué par un dragon liche alors qu’il approchait des côtes. Ils se perdirent de vue pendant le naufrage mais se retrouvèrent peu de temps après à Neverwinter.
Thoronfain s’engagea rapidement dans la défense de la ville, il rejoignit un groupe qui combattait les forces du mal. Grâce à eux il apprit de nouvelles techniques et ils purent s’attaquer à des zones trop dangereuses pour chacun.0 -
Fille d'une mage elfe et d'un guerrier humain, Fanarelle hérite du don de magie de sa mère. Son père les a abandonné lorsque qu'il sut que sa fille ne le verrai jamais. Elle a passée sa jeunesse à l'étude malgré sa cécité, en effet, elle est aveugle de naissance mais à un curieux don qui lui permet de voir au delà d'une vision "normale", sans doute un "don" fait par quelques dieux ...
Elle ne connait que peut le monde, hormis de par les cartes.
Nait à Neverwinter, elle en est partie une année avant la guerre. Elle revient, aujourd'hui, maintenant que sa mère est morte, dans l'espoir de trouver d'antique connaissances perdues dans ce qui reste de Neverwinter.
Elle était solitaire, et n'acceptait des compagnons que pour effectuer des recherches sur les savoirs oubliés de la grande cité.
Cela changea lors de l'attaque de Forsworn, lorsqu'elle défendit des inconnus et pris consciences des menaces alentours.
Elle se devait de protéger le peuple qui ne pouvait le faire lui même.
Décidant d'être le leader des survivants, montrant sa détermination et son assurance, elle convainquit certain de se joindre à elle.0 -
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- GRIMOIRE D'ARCANIA - LIVRE I – Fondation du Cercle
15 Ches de l'An de grâce 1409 du Calendrier des Vaux
Année des Présages Avérés, Découverte de Gauntlgrym
En cet hiver aride, Neverwinter est encore une fois mis en danger, par la folie destructrice de la célèbre nécromancienne Valindra. Des héros en quête de frissons, de richesses et d’artefacts puissants viennent des quatre coins de Féerûne, des Vaux à la Côtes des épées, de l’Amn à la sinistre ville de Luskan. Tous sont arrivent en masse et forment des groupes d’aventuriers, certains par cupidité, d’autres avec des rêves de conquête, mais il existe un jeune groupe qui ont des buts plus louable.
C’est ainsi qu’un jour la drow Pellanistra Del’Ygana, suivante de Silvanus, archère experte qui tire cinq flèches à la seconde, rencontre au Mont Hotenow ses deux futurs compagnons d’aventures, un vieil homme sage, prêtre d’Oghma qui utilise sa connaissance au service du bien, et son ami Nerellem le Banni, un roublard experts dans l’art des couteaux. Ce trio affronta ensemble moult monstres, des géants de feu, et autres viles créatures mortes ou vivantes voulant s’emparer du Royaumes des mortels. Ils affrontèrent les drows, et en particulier la Maison Xolarin qui tente une fois de plus à s’implanter à la surface. Pellanistra en fit une affaire personnelle.
Cette Maison drow avaient tué ses parents quelques années plutôt les sacrifiant à la déesse Lloth. Elle grandit auprès d’un vieil ermite, un vétéran de la dernière guerre contre les orques, qui lui apprit l’art des gardiens des tempêtes, alliant le maniement du tir à l’arc et le pouvoir des éléments, du ciel et de la nature.
C’est dans la Grotte aux Murmures qu’elle y trouva des indices sur sa famille. Dans les ruines de sa maison, elle y trouve un vieux grimoire magique où est relaté le savoir d’anciens mortels. Certains passages sont écrits par ses parents, mais aussi des sages humains vénérant Oghma. L’on y trouve d’ailleurs ces mots en préface.
« J’ai observé les choses suivantes : la connaissance de notre monde doit être entretenue comme une fleur chérie car c’est le bien le plus précieux que nous possédons. Veillez donc sur les paroles écrites, écoutez celles qui ne le sont pas encore et gravez-les avant qu’elles ne se dissipent… Instruisez-vous ensuite des arts de la lecture, de l’écriture, apprenez à bien écouter : cela vous permettra d’atteindre le plus grande de tous les arts : la compréhension. »
C’est à ce moment que le Cercle d’Arcania naquit ce 1er Ches de l'An de grâce 1409, Après une soirée arrosée à la Taverne Driftwood, à Neverwinter. Y rejoint le magicien Erdan Walker qui apporta son aide dans cet ambitieux projet. Et à la majorité des votes, Pellanistra devient la Matriarche du Cercle. Un cercle qui allait s’accroitre petit à petit par les nombres d’aventuriers en quête de savoir.Xander0 -
"Qui es-tu ?"
La question ne cessait de se répéter à chaque rencontre. Il était vrai que je ne m'étais jamais aventuré dans cette contrée des royaumes. C'était d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle je m'étais dirigé vers l’Épine Dorsale du Monde mais pas seulement. Je voulais étaler un peu plus d'encre sur le récit de mon histoire. Mais aussi faire couler du sang ...
J'aimais prendre le large. Lorsque j'avais embarqué sur le Requin des océans, il y avait de nombreuses personnes en quête d'aventure. Tous très jeunes, ils n'avaient pas la moindre chance pour ce qui allait arriver en mer cette nuit là. Le ciel était couvert. L'air devînt froid. Des prémices anormaux pour cette saison. L'équipage aussi comprit que quelque chose se passait. La vigie postée en haut du deuxième mât mourut le premier. Malgré l’effroi qu'imposait cette créature, il eut le courage d'avertir tout le monde dans son dernier souffle. Il s'agissait d'un dragon mort-vivant, un être aussi légendaire qu'abominable. Alors que la panique prenait le cœur des communs des mortels, je m'engageais sans hésitation dans le combat en saisissant Fury Céleste.
Ce dragon-liche ne prit aucune pitié à saccager le navire et à mordre dans la vie fragile et éphémère. Et je n'eus aucune pitié en retour pour lui pourfendre son cristal de résonance à l'aide de mon arme durant la bataille. Le destin joua toutefois en ma défaveur. Incrustée dans la pierre magique, je ne pus récupérer Fury Céleste lorsque que le dragon-liche s'envola agonisant et que le Requin des océans sombra dans les rivages de la Côté des Épées.
Le matin, en cherchant des indices sur la fuite du dragon, je découvris qu'il appartenait à une armée de mort-vivant qui assiégeait la cité de Neverwinter. La malchance se poursuivit quand je découvris les restes de mon adversaire : son cristal de résonance n'était plus là et, par la même occasion, mon arme avait dû être prise. Pour moi, il était hors de question de continuer mon voyage sans Fury Céleste.
Pendant les évènements, je fis la rencontre d'un jeune épéiste plutôt habile pour son âge, Wilfred. Il ne me connaissait pas, mais il n'eut aucune hésitation pour me faire confiance dans un tel chaos. Il admirait mon art de l'épée et sut reconnaître en moi un maître d'arme de haut rang. Tout comme j'avais su percevoir son potentiel en retour. Mais Dame Tymora ne sourit pas toujours à tout le monde. Il aurait pu sans souci affronter en combat singulier le semi géant mort-vivant posté à l'entrée de Neverwinter. Sauf que celle qui contrôlait cette créature, la sorcière Valindra, origine même du conflit, l'avait sournoisement affaibli à l'aide d'une malédiction. Son manque d'expérience joua en sa défaveur et il subit un coup mortel. Même si il allait mourir avec les honneurs, pour moi, il s'agissait d'un gâchis plus que d'une perte. Alors que la sorcière riait de sa victoire sur un jeune homme, je m'avançais à mon tour en ramassant l'arme ébréchée de Wilfred. La tête froide, les sens en éveil et en conservant l'avantage au combat, voilà la dernière chose que je lui appris en temps que maître d'arme. Même si je n'avais aucune dette, je pris une certaine satisfaction à décapiter le géant mort-vivant. La sorcière perdit son rire euphorie pour faire place à la stupeur.
"_ Qui es-tu ?"
La réponse vînt sans hésitation.
"_ Pour toi, rien. Mais pour moi, tu es celle qui détient un objet précieux que je souhaite récupérer.
La sorcière comprit vite de quoi je parlais.
"_ Vara'thet ! tu es celui qui a vaincu mon dragon. Le propriétaire de cette lame bleutée.
_ Si tu me la rends sans faire d'histoire, je partirais du champs de bataille. Tout ceci ne me concerne pas.
_ Te concerne pas ?! Mortel ! tu en as déjà trop fait ! A cause de toi, j'ai perdu cette première bataille. Mais je reviendrai et tu paieras pour tes actes ! Nous nous reverrons bientôt mortel !
La sorcière s'en alla. Tout ce qui passa par la suite devînt un contre-temps. C'était ainsi que commença l'aventure de ma marche vers l’Épine Dorsale du Monde. Neverwinter fut une étape parmi tant d'autre. En quête de mon arme, j'arborais le blason du héros de la cité afin d'atteindre mon objectif : la vengeance pour ma bien aimée Viconia.
Oui, je ne suis pas un simple aventurier en quête de gloire et de fortune. Je suis un maître d'arme qui se bat pour sa propre justice et ses convictions. Une ombre parmi tant d'autre au service de sa personne. Je ne vénère pas Shaar ni aucune autre divinité même si j'apprécie Dame Tymora pour offrir du hasard dans la vie. Ceux qui mettent en travers de mon chemin me craignent. Et ceux qui m'aident ne sont que des alliés de fortune.Simba Lavidah0 -
Voici ma participation au concours pour mon personnage Geylin Ironleg @darkyudex :
Chers parents,
Je n'ai jamais osé vous écrire depuis ce jour où j'ai quitté la mine, mais j'ai pensé que vous vous inquiéteriez trop.
Cela fait 20 ans déjà. Mieux vaut tard que jamais !
Je ne veux pas vous ennuyer encore avec les raisons de mon départ, vous savez déjà que je n'ai jamais aimé le métier que l'on nous colle à la peau, nous, les nains. Alors je vais plutôt vous raconter ce qui m'arrive ces derniers temps.
Par où commencer ?
Je n'ai jamais cessé de penser à vous dans tous les lieux incongrus que j'ai croisé, je me disais que tu n'en reviendrais pas, surtout toi maman ! Pour être honnête avec vous, je vous l'avoue, je suis devenu un aventurier il y a à peu près 15 ans.
J'ai combattu de nombreux êtres maléfiques, déjà non loin de la porte de Baldur, mais j'ai rapidement choisi d'aller plus au sud, et Moradin a guidé mes pas. J'ai longtemps travaillé dans des petits villages comme forgeron ou milicien. Mais là ou j'ai réellement passé ma vie est à Padhiver. Cette ville m'a accueilli à bras ouvert alors que je n'avais pas grand chose.
J'ai vu passer bien des seigneurs papa, comme tu disais "Ils font les fiers, mais donne-leur une pioche et compte sut tes doigts !". Enfin tout cela pour dire que j'ai un métier que j'adore, je suis désormais protecteur de Neverwinter, c'est mon titre officiel ! J'ai une armure qui ferait pâlir les forgerons du village d'ailleurs...
Quoi d'autre ?
Ah si ! J'ai perdu un oeil ! L'oeil gauche pour être plus précis. Un dragon rouge et toute une histoire avec un magicien véreux, enfin nous avions réuni la fine fleur des guerriers de la région mais combattre un dragon n'est jamais chose facile ! Nous étions 50 en entrant dans son repaire, mais après des vagues incessantes d'ennemis, nous n'étions plus que 4.
Etant le seul à aimer le contact, j'ai demandé à mes compagnons de me couvrir, j'ai foncé dans le tas et là vlan ! Je ne savais pas que les dragons avaient des griffes un peu partout, même sur les ailes ! Enfin bref je n'ai posé qu'un genou à terre et j'avais une ouverture sous celle-ci, alors j'ai planté mon epée batârde dans le gras, entre les écailles. Je ne voyais plus grand chose mais j'ai entendu des cris stridents. J'ai vite compris que ce que je faisais avait l'air de marcher alors j'ai continué, tout en esquivant comme je le pouvais ses pattes gigantesques. L'avantage avec une bête aussi grosse c'est qu'elle ne réalise pas vraiment ce qui se passe quand tout le monde court dans tous les sens !
Bon quand elle a commencé à souffler du feu, je l'avoue j'ai eu un peu peur. mais notre mage était au moins aussi puissant qu'un jeune dragon, alors nous avons tenu, et j'ai finalement pu garder mon oeil ... mais pas ma vue.
Voila voila, je pense que je passerai vous voir dans quelques temps, si mes obligations me le permettent, et j'ai hâte de vous raconter tout ce qui nous a séparé durant tout ce temps. En attendant je pense fort à vous.
Affectueusement,
Geylin Ironleg
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ZePiiK ne connaissait rien d'autre que la Garde, soldat depuis près de sept années, fils et petit fils de militaire, il ne désirait qu'une chose à cette
époque servir son Seigneur. Les aptitudes au combat du garde n'étaient plus à démontrer. Mais le grand problème était qu'il ne savait malheureusement faire que
ça, et n'avait de toute façon été créé que pour servir le Royaume de cette manière. Il rêvait encore à l'époque de grands combats. Rêve qui devint rapidement réalité.
ZePiiK faisait partie depuis maintenant six années au régiment de la Garde Royal. Régiment qui ne tarda pas à partir sous la demande expresse du Seigneur Neverember.
En effet, cela faisait plusieurs semaines que la forteresse avait été coupée de toute ressources. Les troupes de Valindra assiégeaient la citadelle, et il était
vital de les aider pour que le Royaume garde son emprise sur la région. Elle se trouvait proche de la frontière entre le Nord et le Royaume Central, à l'entrée du
passage principale qui les sépare. Une longue marche attendait les soldats.
Le garde avait pris comme habitude la boisson depuis à présent quelque années, triste poison mais doux plaisir, qu'il savait comblé avec grande générosité.
Il n'était d'ailleurs pas rare de le voir cuver pendant la nuit, en chantant, réveillant alors tous les soldats des alentours.
L'homme se prenait de sévères sanctions pour ses actes d'ivresses. La plupart du temps, le sergent prenait le fouet afin de punir le soldat, le battant
jusqu'à l'épuisement. Cet homme prenait un grand plaisir à faire souffrir les déviants et à appliquer les peines. Il était le tortionnaire de la quatrième compagnie
de ZePiiK.
Les soldats pénétraient maintenant les terres des Marches, qui paraissaient désertes. Décidément bien plus organisés qu'avaient prévu le roi et l'Ordonnance,
les troupes de Valindra avaient déjà eu le temps de mettre la pagaille dans la région.
Peu de gens pensaient que le régiment allait pouvoir changer la situation, sûrement de par leur réputation depuis la Campagne contre les orques au quartier de la tour. Le moral
des troupes était déplorable, peu de garde du régiment souhaitaient partir guerroyer. Si ce n'est aucun. Mais la désertion n'était pasune option.
Les soldats n'étaient plus très loin de la forteresse. Forteresse qui allait bientôt tomber si le régiment n'était pas rapidement corrigé. Et plus les hommes
approchaient de celle-ci, moins l'envie de combattre se faisait ressentir dans les rangs. La bataille semblait perdue d'avance.
La bataille fut effrayante. Les Soldats vinrent rapidement à la rencontre de l'adversaire sans aucune organisation valable, au-devant d'une mort certaine.
En ce temps, ZePiiK possédait encore un parfum provenant de l'enclave, sa ville natale, qui dégageait une forte odeur de menthe. Il l'avait porter sous son nez
avant de foncer au combat à son tour, la peur au ventre. Et c'était malgré tout un merveilleux avantage, car il arrivait ainsi à quasiment recouvrir les odeurs
si dérangeantes de cet affrontement.
Alors que la bataille se transformait déjà en massacre, un miracle vint en aide aux Gardes.
La Dame de la forteresse prit les choses en mains. Beaucoup d'hommes pensaient qu'elle était un don de Tempuran. Avant d'être l'héroïne de toute une bataille, et
de toute une armée, la Dame était un simple officier du régiment. Elle renversa l'équilibre de la bataille d'une façon impressionnante.
Les renforts écrasèrent les forces de Valindra en moins d'une semaine. Les survivants adverses fuirent dès lors qu'ils virent que la bataille était perdue.
Les sauveteurs furent accueillis en héros à l'intérieur des murs. Alors que la forteresse était à présent sauvé ...
La brume se faisait ressentir dans toute la forteresse, les pluies et les vents froids faisaient frémir tous le monde. Les Troupes de Valindra avaient mis à sac une bonne portion
de la région, mais les reconstructions avaient déjà commencé. Le nouveau but du régiment était de détruire le reste de l'armée de Valindra qui ne tarda pas à attaquer
de nouveau la région, par petits groupes reconstitués.
Pour que les soldats se déplacent plus rapidement afin de détruire les groupes reformés par les envahisseurs, une partie des hommes du régiment furent envoyés par sections à leur
recherche. ZePiiK fut placé sous les ordres du sergent , qui commandait à présent la sixième section.
Cela faisait cinq jours qu'ils marchaient. ZePiiK mangeait sa ration, qui était la même détestable bouillie qu'il avalait depuis des mois, et de laquelle il fallait impérativement
ignorer à partir de quoi elle avait été fabriquer. Avec ceci était censé être servi, comme un jour par semaine, une choppe de La Capitale, qui avait semble-t-il, un goût acceptable pour le Garde.
Il n'eût aucun étonnement face à cette supercherie.
Il savait que le sergent le détestait, mais au point de lui supprimer la seule chose qui lui donnait encore le sourire...
Alors qu'il terminait son fabuleux repas, le détestable sergent appela ses hommes à l'entrée du camp avec l'aide du guetteur, qui souffla longuement dans son olifant.
Quatre hommes qui étaient partit une journée auparavant prirent la parole. Ils rapportaient que des Troupes ennemies avaient prit possession d'une petite auberge à cinq heures de marches de là.
Sans attendre davantage, le sergent, tout en coupant la parole aux hommes, hurla à ses hommes de se préparer pour reprendre la route.
Et c'est en une poignée de secondes que le camp devint une véritable fourmilière. ZePiiK, comme les autres soldats, se prépara en toute hâte.
Il se posta ensuite dans les rangs des soldats, guidés par le sergent, sur son cheval Blanc.
La caserne était situé sur une haute colline, point stratégique, puisque de là-haut, les Soldats pouvaient apercevoir l'ennemi à des lieux de là.
A peine un quart d'heure après l'ordre, les hommes commencèrent à avancer. ZePiiK était fin prêt, comme chaque fois. Il ne pensait à rien d'autre qu'au combat.
Comme possédé, il suivait les pas de ses compagnons frénétiques. Et c'est après trois heures et demi de marche que les soldats se retrouvèrent devant l'auberge, gardée par cinq Brigand totalement saouls.
Le temps que les gradés discutent de la manœuvre à adopter face à l'ennemi, que les ordres furent donnés de la part du sergent, de sa voix rocailleuse et si dérangeante.
Tous dégainèrent, la garde devant l'auberge se fit offrir une pluie de flèches tandis que les Gardes enfonçaient déjà les portes du bâtiment.
Les troupes de Valindra à l'intérieur semblaient au moins aussi ivres que ceux de l'extérieur. Ils étaient une quinzaine, et à eux seuls, ils avaient vidés tous les fûts de vins de l'auberge.
L'ennemi ne s'attendaient pas à ça. Une véritable boucherie. Ils eurent à peine le temps de dégainer qu'ils se noyaient déjà tous dans leurs sangs.
Le soleil commençait à se cacher lorsque les légionnaires quittèrent le site. Continuant leurs routes à la recherche d'un endroit pour passer la nuit, les hommes ne se doutèrent de rien lorsque le
sergent, fièrement dressé sur son cheval qui ne tarda pas à recevoir une flèche et à cabrer.
Le sergent, surpris par sa monture tomba au sol avant de prendre un coup de sabot dans le ventre et de se plier en deux face à la douleur. Suite à cette scène, vingt guerriers Adverse sortirent
de chaque côtés du sentier. Les gardes étaient pris entre deux feux.
Les hurlements des hommes étaient épouvantables, de drôles de sensations envahirent doucement le jeune Zepiik, alors que les épées commençaient à s'entrechoquer.
En moins de cinq minutes, la moitié des soldats étaient à terre. Le garde essaya tant bien que mal de survivre alors qu'un malheureux mort-vivant l'harassait par de violents coups vertical d'épée,
s'efforçant ainsi de briser sa garde. Suite à une quinzaine de coups portés par celui-ci, ZePiik envoya son pied à la rencontre de son abdomen et lui arracha l'avant-bras droit d'un coup vif et précis d'épée bâtarde.
L'homme, brailla de douleur en observant son bras, clairement raccourci. Désarmé de force, l'ennemi se laissa tomber à genoux en bêlant dans une langue étranger.
Le légionnaire, à bout de souffle et perdu au milieu du combat, chercha une porte de sortie en tournant plusieurs fois sur lui-même. A la place d'une échappatoire, ZePiiK posa son regard sur son sergent et tortionnaire.
L'homme était en train de s'étouffer, sous son cheval qui agonissait. Le soldat approcha alors vers lui, tout en essayant de reprendre sa respiration.
Pendant ce temps, le combat faisait toujours rage, les gardes Royaux reprenaient doucement le dessus sur les attaquants. Le sang fusait de toute part.
Les hommes rugissaient, tels des animaux, alors que leurs visages, masqués par le sang des alliés ou des ennemis montrait ô combien cette guerre était regrettable. Des frères d'armes essayaient
désespérément de se venir en aides. Certains mutilés suppliaient leurs dieux d'accourir, pour les sauver. D'autres blessés, gémissaient en débitant des choses incompréhensibles.
ZePiiK faisait abstraction de tout ça. Il observait le sergent, à ses pieds. Songeant à mettre fin à ses souffrances et surtout de pouvoir se venger de toute les souffrances qu'il lui avait
fait subir. Il déposa la pointe de sa lame contre le cou de l'homme, intimidé. Il hurla une ultime fois, alors que l'épée de ZepiiK abrégea rapidement le bruit. La pointe de l'arme se logea
à l'intérieur de sa gorge, laissant alors s'échapper plusieurs jets de sangs qui vinrent s'écraser sur le visage de l'assassin qui s'était baissé pour admirer de plus près la mort de son supérieur.
Le râle d'agonie du sergent avait ramené deux légionnaires qui s'emparèrent instantanément de ZePiiK. L'un d'eux envoya un violent coup de pommeau derrière la tête du légionnaire qui perdit
soudainement conscience ...
Il se réveilla sur une plage entre les debris d'un bateau, il avait encore mal a la tête ... Il se demande que c'est t'il passait entre le temps ou il c'est pris le coup et entre le moment ou il c'est réveiller.
Hors sujet
Désolé de la lecture
Mon personnage : Mx-ZePiiK@zepiik340 -
2 janvier 1260 au matin
C'est le grand jours ,je viens d'atteindre ma majorité.
je vais pouvoir intégré l'académie des légendaire Garde du Fort de la croisé.
il y a 200 ans le fort de la croisé n'était qu'un repére de mage noir mais le plus grand des guerrier ,
le chevalier capitaine Brice Eredis du Mardelein triompha d'une victoire éclatante et apporta le lumière et la prospèrité sur cette ville.
dpuis chaque hommes et femmes de la Garde sont reconnue pour les aptitude au combats.
23 juin 1261 au matin
Apres six moi d'entrainement acharné autant physique que mental,
mes effort on était récompensé , ce soir aura lieu la cérémonie des nouveaux garde des croisés plus des trois quart des éléve on était recalé
et seulement soixante avait put intégré l'académie.j'ai hâte d'y être nous y rencontrerons le caporal Freya De Lys envoyé por le sergent knox .
on n'est pas dupe sa présence ici est pour recruté des garde pour neverwinter ,même seux qui on échoué reste de bon soldat.
23 juin 1261 au soir
La Cérémonie était magnifique j'ai eu l'occasion de discuté avec notre belle invité elle ma suggéré d'intégré la garde de neverwinter,
j'ai refusé poliment car ma place est ici , j'ai l'honneur tout de même lui accordé une danse.Ce jours marque un tournant dans mon histoire....
qu'entend-je ... une explosion...
6 juillet 1261
Le Mont Hotenow est entrer en éruption ,d’après le messager la moitier de la ville a été détruite et La Liche Valindra veut détruire ce qui reste de Neverwinter
je doit y allez ma famille s'y trouvent encore ,je doit savoir ce qui leur est arrivé.demain je part pour Port Last et je prendrai un bateaux pour Neverwinter.
12 juillet 1261
J'avait réuni un petit groupe de volontaire mais deux de mes quo-équipier sont mort les Homme lézard les ont eut .
le moral du reste de l'équipe a souffert ,nous somme enfin arrivé a Port Last ,je vais leur laissez trois jours de repos bien mérité puis nous embarqueront sur Le Fantôme écarlate.
25 juillet 1261
Nous naviguons depuis bientôt deux semaine ,ces treize jours en mer se sont bien déroulé Frédérique et Mélissa on vraiment pas le pied marin
,il ont étai malade tout le long du voyage ...des battement d'aile ...un Draco-liche...... ... ..
je ne sait plus quelle date on est ,j'ai du mal a me rappelé de ce que je fait ici mais j'ai rencontré a jeune soldat qui ma demandé de l'aide.
il ma indiqué ou se trouver les débris du navire .j'ai retrouvé mon journal il est maintenant la seule chose qui me relit a mon passé et qui indique se que
je doit faire dans le futur.0 -
Arxane Senjak est née très jeune il y a une vingtaine d’années à Neverwinter, d’un père quart-elfe et d’une mère trois-quarts elfe.
Elle montre très vite des dispositions remarquables dans la manipulation des énergies magiques à des fins destructives. Ainsi à huit ans, elle étrangle à distance Monsieur Motti, son instituteur, parce que son manque de foi en ses capacités la consternait.
A dix-huit ans, elle écrabouille des centaines de rebelles Nasherites dans le quartier de Blacklake, quoique certaines rumeurs prétendent qu’il y en a toujours autant.
Aujourd’hui elle vit en marge de la société se consacre quasi-exclusivement à ses études d’éviscération de créatures sans les mains.____________________________________________________________________
Le Médaillon de Vôh - NW-DFRXBKUQP0 -
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Son histoire a commencée dans une barque échouée sur un banc de sable pas tres loin de Luskan sous une lune bienveillante, la protégeant des regars hostiles. Agée d' a peine 3 hivers, sa mére l'avait dissimulé sous des tissus au fonds de cette barque. Car ce soir là, les drows firent irruption dans le camps des elfes de la forêt afin d'y dérober une relique sacrée. Ils massacrérent le petit groupe d'elfes ne laissant aucun survivant a part Athénaël... C' est un contrebandier qui l'a trouva sur la plage alerté par ses pleurs alors qu'il effectué une transaction au coeur de la nuit. Devant ce petit regard, quelque chose s' insinua dans son coeur trempé de guerrier de la nuit. Elle grandit dans l'ombre de ce père adoptif au milieu des dangers et des intrigues.. A la suite d'une embuscade son père fut tué par un groupe de mercenaires se rendant a Luskan. Elle avait juste 21 annees humaines lorsqu'elle s'engagea dans une carriere de chasseur de primes avec au fonds du coeur une haine viscérales contre l'injustice, les bandits de toutes sortes et les drows. Sur sa route elle rencontra son seul veritable amis un chiot malingre fouillant dans des poubelles. Tous deux ne firent plus qu'un et la légende de ce duo atypique commenca à dépasser les frontières de Luskan : La femme Elfe et le Loup, Athénaël et Malékith.0
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Ecrit au niveau 5 au début de la bêta, je ne l'ai jamais changé depuis (et faut bien poster une image ? nan parce que les texte plus haut, ils seront pris en compte du coup ?)0 -
Lenobia est une jeune elfe des bois sans histoire originaire du Val Gris, dans les plaines contrôlées par sa redoutable tribus: les uhtgardts.
Avec ses long cheveux c'était l'une des plus belle elfe de cette région, mais sa beauté n'était pas son seul atout. Depuis le décès de ces parents elle s’entraînait chaque jour au maniement de diverses armes pour se défendre, subsister à ses besoins et réaliser son rêve: devenir la meilleure voleuse de tout Neverwinter. Elle pensait que se rêve ne se réaliserait jamais.
Un jour où la colère en elle la rendait folle, elle partie courir dans une des vastes forêts du Val Gris, non loin du petit village où elle vivait avec sa tribus, pour aller rejoindre son coin de paradis: une petite clairière bordée d'un long et paisible fleuve.
Alors qu'elle courait, une tempête éclata, Lenobia trouva refuge dans une lugubre grotte infestée de créatures plus répugnantes les unes que les autres. Utilisant les meilleures techniques qu'elle avait répétées pendant tant d'année elle se battit vaillamment, ne souhaitant pas revivre le sort de ses parents. A bout de force, elle baissa sa garde et un horrible troll lui asséna un coup sur la tête, la mettant à la merci des créatures malveillantes.
Alors que tout semblait perdu la foudre s'abattit devant elle la sauvant d'une mort inévitable. Tempus le dieu de la bataille se matérialisa sous ses yeux et lui dit:
" Lenobia cela fait un moment que je t'observe et je pense que tu as le tempérament suffisamment féroce pour accomplir la mission que voici, tu sauveras Neverwinter d'un sombre destin. Je te remet ces dagues qui seront tes armes et qui t'accompagneront tout au long de ta quête."
De suite elle accepta cette étrange proposition et fut soignée, il ne restait plus que les corps de trolls, ogres et gobelins qui avaient osé l'attaquer. Elle avait maintenant un étrange tatouage violet à son œil gauche.
Elle partit à l'aventure avec son armures désormais en lambeaux, les cicatrices de cette horrible nuit et pour seul équipement ces incroyables dagues gravées de symboles ancestraux qui lui rappelait cette mystérieuse rencontre lui procurant un courage sans faille. Maintenant elle a la richesse et la gloire mais cela lui importe peu, car elle veut juste se venger d'un passé remplit de tristesse et de pauvreté. Dans les pires moments où tout semble perdu elle repense aux phrases citaient par la divinité et retrouve la force de se battre avec dextérité aux côtés de ses fidèles frères d'arme.
Voici comment Lenobia devint la voleuse la plus redoutée de tous...0 -
Je m’appelle Lynlee. Juste Lynlee. Jeune elfe au passé sulfureux, ancienne malfrate de Luskan, j’ai forgé mon destin à la force du poignet, pour devenir l’héroïne que je suis aujourd’hui. J’ai gagné mes galons en défendant le peuple de Neverwinter et sa fière cité. J’ai combattu aux frontières du bien et du mal, d’abord sous l’égide de courageux généraux, puis comme leur égale. J’ai sué et saigné, j’ai tracé ma voie à travers Faerun à coups de stylet. Et aujourd’hui, je me tiens, fière et droite, loin des taudis qui m’ont vue naître, et tournée vers un avenir meilleur.
Enfin, c’est ce qu’on pourrait lire au dos d’un bon parchemin d’aventure, ou entendre chanter au coin du feu dans une petite taverne de quartier. La vérité est beaucoup moins plaisante. La vérité, c’est tout ce que les petits scribaillons de bas-étage et gratte-papiers ne raconteront pas, tout ce qu’ils ne comprendront jamais.
Car il n’y a rien de glorieux à patauger dans la boue épaisse des bidonvilles de Luskan. A frôler les murs de torchis ou à se cacher dans les égouts à chaque sortie. A vivre des détritus des quartiers un peu moins pauvres, à voler et à se battre comme des chiffonniers pour un quignon de pain. Qui, à l’Enclave du Protecteur, pourrait seulement imaginer la crasse et la misère dans lesquelles je suis née ? Qui, de ces bourgeois endimanchés ou de ces soldats aux armures chamarrées, connaît la faim tenace, ce vide insatiable dans ton ventre, ou l’immonde peur qui te déchire les entrailles, jour et nuit ? Et la solitude. Oh, bien sûr, pas la simple solitude de l’orpheline abandonnée dans cette ville de fous et de débauchés, mais plutôt celle qui te fait te sentir seule au milieu des gens de ton espèce. Ces rats de gouttière, qui m’appelaient hypocritement camarade, étaient prêts à me suriner pour une paire de lacets, un demi-jambon, ou un regard de travers. Alors j’ai grandi seule dans ce climat délétère, où la pusillanimité était la plus grande des faiblesses, et où le danger guettait à chaque coin de rue. Confiance et amitié n’ont jamais été que des mots dans ce cloaque ; au mieux, des ruses pour piéger un nigaud de passage.
Oui, j’ai tué. Par nécessité, souvent. Par rancœur, parfois. Et même pour le simple sentiment d’être la dernière debout, la survivante, l’invaincue. Car le pire, à Luskan, c’était l’incertitude et l’injustice des fortunes personnelles : la mort frappe au hasard, sous les traits d’un dément halluciné, d’un traître ou d’un chasseur de primes. Les gardes de Neverwinter se battent pour une cause, pour leurs proches, pour leur cité. Ils reconnaissent le visage du mal et savent où frapper leurs ennemis. Moi, j’ai appris à me méfier de la lumière aussi bien que de l’obscurité. Le coup de grâce peut venir de n’importe où. Alors autant être la première à le délivrer.
Aujourd’hui, je ne crains plus les ombres. Je m’y faufile et y disparaît pour ressurgir là où l’on s’y attend le moins. La discrétion est la clé de ma survie et de ma réussite, je l’ai compris il y a fort longtemps. La noirceur de mon cœur est inscrite sur mon visage : je suis une Drow, une elfe décadente dont les honnêtes gens ne peuvent que se méfier. Même l’homme qui m’a soignée après un cambriolage raté ne l’a pas fait par compassion ou bonté d’âme. L’appât du gain a guidé son geste, et une fois qu’il eut réalisé que je n’avais rien à lui apporter, il me vendit à un capitaine de galère. Galère qui vint commodément s’échouer sur la Côte des Epées quelques semaines plus tard, lors d’une attaque de Valindra sur Neverwinter.
Depuis lors, j’ai avancé, sévissant depuis les ténèbres, abatant toute menace sur ma route. Pour certains, je suis devenue une protectrice, rempart contre le mal, et on a plaqué de grands mots creux sur mes aventures : honneur, courage, amitié. En réalité, je ne fais qu’éliminer ceux qui me défient, ceux qui mettent en péril ma liberté et la vision de la vie que je veux mener.
J’ai certes rencontré beaucoup d’hommes et de femmes, que j’ai combattus ou auxquels je me suis alliée. La seule différence aura été le côté de la dague où ils se seront rangés. Je ne choisis pas mes acolytes pour le plaisir de leur compagnie, mais pour leur utilité. Nilune elle-même, l’esprit de la forêt qui me suit depuis déjà plusieurs mois, est une excellente archère mais une bien médiocre camarade. Au moins est-elle petite et discrète quand la situation l’exige. Je n’ai pas non plus de dieu. Je méprise les idoles des ancêtres qui m’ont abandonnée, et le culte des autres me parait bien stérile. Les affaires de cœur ne m’intéressent guère plus ; ce ne sont que des impasses, dans lesquelles je me suis trop souvent égarée dans le passé et qui ne font que me ralentir. La fréquentation d’un jeune clerc humain, Seska, a presque failli me faire changer d’avis, mais son monde s’est avéré bien trop lumineux pour mes propres noirceurs.
Je suis ma seule cause. Tout le reste n’est et ne sera jamais que profits ou dommages collatéraux. La protection de Neverwinter, le combat contre Valindra, la campagne de Sharandar, tout ceci n’aura été qu’un prétexte. Le grand final va bientôt arriver. Je vais enfin réaliser le destin que je me suis forgé. Car lorsque je serai en haut de cette tour, lorsque je baisserai les yeux sur Valindra agonisante, alors je serai vraiment la dernière debout, la survivante, l’invaincue.
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Véritable Filochard du pvp il fait gicler le sang sur les ruines rivenscar, il fait trembler les murs de tous les donjons aux abords de Neverwinter, il est le fossoyeur des hordes impies du mont hotenow, l'égérie de la marque "vagabond des arcanes", l'assoiffé de sang et des élixirs dopant, l'énormissime mage au chapeau, il a un caleçon sponsorisé "Forgeâme", le grand maître thaumaturge et l'élégance personnifiée, j'ai nommé Munvar
Munvar est issu des iles moonshae, débarqué sur neverwinter pour y retrouver son frère Bhodi un prêtre dévoué qui après 8 années de silence lui a donné rendez vous à l'enclave du protecteur. Le jeune magicien s'est alors empressé de répondre présent mais à peine eut il fini de gravir les 60 niveaux que Bhodi disparu à nouveau vers d'autres contrées. Munvar compris alors que sa soif d'aventure et de gloire réveillée allait s'assouvir sans celui qui l'avait fait venir.
Cependant souhaitant prouver à Bhodi qu ils auraient pu rattrapper le temps arpentant les régions environnantes de neverwinter, Munvar s'entêta à comprendre les mécanismes de sa classe et resta à neverwinter au service de Neverember. Son vieil ami Donyla également prêtre dévoué viendra épisodiquement briser sa solitude.
Attiré par Gauntlgrym notre jeteur de sort fut recruté par une guilde dont le nom s'est évanoui avec elle. Il y rencontre un voleur fourbe Hicaru et un autre magicien manipulateur Kalma qui comme lui se lassent du manque d'organisation et d'activité de la guilde. Munvar arrive dans une autre guilde "les déjantés" qui est du même accabit que la première, pendant qu Hicaru créée sa propre guilde "Légende Obscure" . A ce moment-là les premières explorations de Sharandar dévoilent une richesse de trésors et de nouveaux talents à apprendre .
Après quelque temps, excédé par les plaintes incessantes de la guilde envers les rouages de Neverwinter, désireux de progresser et conscient qu'il aura du mal à le faire seul Munvar quitte la guilde en profond déclin et accepte de rejoindre "Légende Obscure" et c'est réellement à ce moment là que que son histoire commence.
Les héros de Légende Obscure l'emmènent alors en donjon bien que son niveau est encore handicapant pour tout le groupe, et très vite Munvar est conquis par la bonne humeur, la franche camaraderie et la fraiche ambiance qui règne dans les explorations de donjon.
Il observe les grands et leurs titres "tortionnaire" "fouilleur de donjon" "tueur de roi", il écoute les conseils que lui prodigue le bon vieux Gospel, et très vite les premières indications sur la neutralisation d'armure trouvent écho dans la tête de Munvar qui vit les dégats de ses sorts décuplés. Le second cours sur la spécialisation fut une révolution, de renégat on devint Thaumaturge.
Dès lors Munvar s'est lancé dans une quête de progression, afin de maitriser sa classe et sa voie parangonnique, Kalma lui donnera à son tour d'excellents conseils sur les combinaisons de sort et talents. Le tieffelin sélunite progresse encore et s'équipe, maîtrisant enfin les synergies de ses talents après moult respécialisations. Cherchant à optimiser au mieux il devint avide de puissance pour s illustrer au sein de la Légende Obscure et pour la représenter au mieux parmi la communauté qui gravite autour de l enclave.
et aussi pour dire à Bhodi si il revient un jour à Neverwinter "regarde quel mage je suis devenu"
Aujourd hui il est "maître de donjon" et honoré d'être Oracle du crépuscule de la guilde. Bienveillant, il reste disponible pour aider les membres de la Légende Obscure à s'équiper, et à montrer le chemin en donjon comme on le lui a montré lorsqu il n'était encore qu un mage néophytes. Disposé également à relever tous les défis, et enfin disponible pour vous mettre cher, très cher en pvp
Par ailleurs Munvar est aussi dompteur de bêtes sauvage outre le chat "Marshall" qui l'accompagne en donjon, sa ménagerie se compose d un ours bardé, d un loup worg, d'un léopard de Shult et depuis peu d'un scarabée géant. Il rêve encore d'un grand cerf sylvestre.
Enfin Munvar est très soucieux de son apparence, et est féru de teinture et de skin d'armure et d'arme ce qui lui vaut beaucoup de chambrette de par ses compagnons d'arme.
Depuis peu il s'occupe de l apprentissage rigoureux de sa fille Münlyre, bénie d oghma, qui suit la voie de son père, destinée à dépasser ses limites de part les attributs que la grâce divine lui a accordé à sa naissance, plus d intelligence et plus de charisme.
Munvar se consacre maintenant à la chasse de butin afin d'équiper MünLyre, car même si il a vaincu Valindra sur tous les champs de Bataille jusque dans sa tour, il sent que la menace persiste encore autour de Neverwinter. Sage et confiant, il sait que le jour venu elle sera prête.MuИ - Mage - ancien Archange d'onyx de " Légende Obscure "
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> Build CW MOF- PvE mod8 - "Atomic Burning Blast"
> Build CW - PvE mod4 - "Atomic storm"0 -
Chap 1 La porte de Baldur
Ce soir là, autour d'une bière naine à la couronne de cuivre, Haer'Dalis raconte une partie de son histoire à un autre tieffelin qui semble vouer une haine envers le genre humain.
Il y a 14 ans de ça, avant d'être sur ce plan astral, je vivais dans Sigil, la cité des portes. Je faisais mes débuts dans la garde fatale, j’étais plutôt médiocre, je restais dans l'ombre, et n'avais pas plus de talent que les autres gardes qui savaient manier parfaitement les armes, la magie, les pouvoirs démoniaques... Alors quand, malgré moi, j'ai été propulsé avec quelques camarades depuis Sigil sur le plan des humains, je trouvais cela fantastique de leur montrer mes pouvoirs qui étaient extraordinaires pour eux. Je me sentais plus grand que je ne l'étais. Cela m'amusait tellement d'être admiré qu'avec mes compagnons tieffelins nous avions monté une troupe de théatre. Mais notre manège ne plaisait pas à tous le monde. La différence engendre la peur. Et en ce temps là, lorsque le masque de pierre-lune était encore un joyeux *Quiiiiiick* bien ancré au sol, les tieffelins étaient bien moins nombreux et bien moins appréciés qu'aujourd'hui. Un sorcier à engagé une troupe de mercenaires, ils ont capturé et torturé mes compagnons. Heureusement à ce moment là j'ai fait la connaissance du fils de Baal, Adrian, qui voyageait avec ses compagnons Imoen, Minsc, Jaheira, Valygar. Ils m'ont aidé à libérer mes compagnons. J'ai, par la suite, voyagé plusieurs années avec eux, nous avons vécu mille aventures ensemble: Démanteler la guilde des voleurs de l'ombre, nettoyer les rue d' Athkatla des vampires et de la grande Bodhi qui était à leur tête, traquer Irenicus jusqu'à Suldanessalar la magnifique cité des elfes, et bien d'autres encore...
Puis l'une de nos quêtes nous mena devant l'antre du prince des démons: Démogorgon. Nos aventures nous avaient enrichi de puissance, mes pouvoirs s'étaient considérablement développés, la téléportation, l'invisibilité, l'immatérialité, je les maîtrisais parfaitement. J’étais persuadé que nous en ressortirions vainqueurs ! Aveuglé par ma soif de pouvoir, par ma nature de tieffelin, j'ai poussé mes compagnons à nous engager dans cette bataille. Et malheureusement, par ma faute, trois d'entre eux périrent. Je me sentais coupable de leur mort prématuré, alors que je leur devais la vie quelques années auparavant. Après cette bataille j'ai quitté les survivants, ne voulant pas causer leur mort à eux aussi. Ce Démogorgon m'a laissé une balafre au visage. Chaque fois que je me regarde dans un miroir, je repense à ce jour, où 3 légendes vivantes sont mortes par ma faute.
Je te raconte ceci, car tu m'a l'air de déprécier les humains, mais aussi parce que j'ai appris qu'un petit pouvoir de tieffelin pouvait être considéré comme un grand pouvoir pour ces humains. Et comme l'a dit un vieux sage "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités !"0 -
Lim-Dul est un soldat, envoyé au combat en tant qu'explorateur de delzoun, l'expédition est financée par le seigneur Neverember.
Après plusieurs batailles, Lim-Dul est reconnu pour être un très bon combattant. Il est alors envoyé au plein cœur du combat.
Lors d'une opération massive, le combat fait rage dans tout Gauntlgrym, c'est alors que Lim-Dul décide de charger ses adversaires les Hordes de Luskan.
Malheureusement, les hordes sont sans pitiés et trop nombreuses pour être repoussée.
Alors qu'il est à terre, un prêtre du nom de Breathe s'avance vers lui pour le secourir.
Ce prêtre est protégé par sa fidèle amie, Oragie, une halfeline recouverte d'une armure tellement solide qu'on dit qu'elle est capable de stopper la horde à elle toute seule.
Nos trois aventuriers sont contraints de battre en retraite. Heureusement pour Lim-Dul que ces deux inconnus sont intervenus. Ils sont les fondateurs d'une des plus importantes unités d'élite : les Warforgis.
Rapidement, Lim-Dul fait ses preuves au sein de cette unité d'élite en combattant avec passion, il devient général de cette armée. Les Warforgis, surnommés "les armées du Nord" en rapport avec le lieu des opérations et de la vigueur exceptionnelles de tous ces soldats.
Même s'ils ne sont pas très nombreux, le termes "les armées" indiquent bien à quel point ce petit groupes de soldats est craint et respecté par ses adversaires ainsi que par le reste des forces de Neverember.
Grâce aux opérations des Warforgis dans le secteur nord de Gauntlgrym, Les corsaires sont contraints, à leur tour, de battre en retraite.
Mais le seigneur Neverember refuse de les laisser s'enfuir. C'est alors que les Warforgis assistent à un massacre, totalement impuissant, les valeureux combattants de Luskans sont mutilés et embrochés alors qu'ils méritent une mort digne d'un soldat.
Fou de rage, les Warforgis décident de rompre les accords passés avec le seigneur Neverember. C'est alors qu'ils se rallient aux cotés de Luskan, dans le but de mettre un terme aux combats qui se déroulent à Gauntlgrym.
Bien que ce combat est éternel.
En aucun cas Lim-Dul ne souhaite attaquer Neverwinter, en revanche il compte bien faire payer le seigneur de cette cité pour tous les crimes qu'il a commis lors des batailles sur Gauntlgrym.
Les sacrifices de soldats, les massacres des prêtres, sans compter le génocide des populations locales jugées encombrantes...
"Je ne veux qu'une chose, la tête du seigneur Neverember, mais pas servi sur un plateau, j'irai la chercher moi-même, mais ce lâche refuse de m'affronter lors d'un duel. Et si vous ne stopper pas l'envoi de vos assassins, j'enverrai vôtre tête en plus de celles de ses assassins qu'il m'envoie !"
Lim-Dul, général des armées du nord, parlant au seigneur de Luskan.
Depuis le seigneur Neverember a doublé l'effectif de sa garde personnelle, alors que les assassins de Luskan ont cessé de s'en prendre à lui...0 -
Massystia, demi elfe a la peau sombre, fut au début de sa vie, l'élément indésirable de la communauté des Silvanites. Cette créature frêle, chétive et qui ne disait mot, avait été recueilli à l'age du berceau. Un couple de paysan l'avait trouvé derrière un bosquet à la lisière de la foret. il l'a trouvère non pas parce qu'elle pleurait ou faisait du bruit, mais parce qu'une lumière jaune jaillissait de ces yeux. Cet être sombre ne pouvait même se deviner dans la nuit débutante, elle aurait pu rester là, isoler et seule, mourant à petit feu. Personne ne l'aurait aperçu, et elle aurait périt dans son interminable silence. Le vieux couple eu déjà peur de cette bête minuscule mais qui paraissait si puissante quand on plongeait son regard dans ses yeux baigné de lumière. Après concertation, il leur fut logique qu'ils ne pouvaient pas laisser un être vivant mourir dans ces conditions, si effrayant soit il, alors ils la récupèrairent et l'amenèrent chez eux.
Sa vie fut pleine de dureté. Pour ces tuteurs c’était une bouche en plus, non désirée, qui en plus était la risée du village a cause de son air froid, distant et imperméable, sa face continuellement sale et ses yeux jaunes pénétrant la nuit qui donnaient froid dans le dos. Il l'a mire au travail très tôt. Sa stature chétive ne laissait présager que peu d'espoir de pitance mais avec le temps, ils s'aperçurent que cette petite était bien plus forte qu'il n'y paraissait. Elle soulevait des troncs d'arbre que seul les hommes les plus forts pouvaient déplacer, elle tenait les labeurs du travail du jour levée a l’arrivée de la lune de minuit, ne rechignait à rien et ne relevait aucune remarque. La pitance arriva bien dans l'assiette des fermiers qui se débarrassèrent de leurs taches pour les lui confier entièrement. Cette vie rude en fit une adolescente aux traits tirés de la misère.
Un jour un aventurier passa dans ce petit village accoter à la foret. Il voulait le couvert et la nuitée et frappa chez les fermiers. Ils ouvrirent et lui donnèrent ce qu'il demandait. C’était un grand homme aux cheveux grisonnant, accompagné d'un cheval baie et pour tout bagage une sacoche de cuir ainsi qu'un arc et ses flèches de très bonne qualité. L'adolescente rentra du champ quand le diner de ce dernier fut terminer. Il vit cette créature rentrer et en eu une une grande surprise tinter d'une légère peur. Il se retrouva subjuguer par ce regard jaune or arrivant à toucher même son âme alors que le reste du corps de la jeune fille était juste effacer. Fasciner par cette demoiselle il demanda au fermiers qui elle était. Après le récit de l'histoire, il demanda si elle pouvait l'accompagner pour apprendre l'art de la chasse. Les propriétaires ne le voyait pas de cet façon, cela voudrait dire se remettre au travail et il se comptait tant d'années depuis la dernière fois où ils avaient touchés une fourche. C'est à ce moment que l'aventurier saisi une bourse dans sa sacoche et leur donna. A la vue de l'or contenu dans ce bout de cuir ils se figèrent et l'homme aux cheveux grisonnant en profita pour enlever la petite et s’éclipser. Elle ne résista pas car elle n'avait jamais appris à se rebeller et donc le suivi sur sa monture. Ils trouvèrent refuge plusieurs lieu après la foret, aux abord d'une falaise ou si nichait une caverne.
Là, impressionner par sa force disproportionnelle a son corps il lui donna le nom de Massystia, un nom qui venait de chez lui, et voulait dire la force tranquille. Il lui apprit a utiliser un arc, a chasser, a connaitre la nature. Tout se passait au mieux malgré le mutisme dont elle faisait preuve. Elle devenait une femme charismatique et s'exprimait avec seulement son regard. Chez elle se réveillait avec les années des sentiments qu'elle n'avait jamais effleuré. Sans pouvoir mettre mot sur ce qu'elle ressentait, elle soignait les oiseaux blesser, ramenait les renardeaux perdu à leur mère et donnait à manger aux lapereaux en hiver. Une communion parfaite c'était installer entre la nature, elle et ce vieil homme fatigué.
Un jour alors qu'elle chassait près d'un de leur nouveau refuge, un troll arriva a surprendre l'ancien aventurier. Il fut tuer sur le coup pour un lapin a peine dépecer. Quand elle revint au foyer, ce qu'elle découvrit la terrifia: il ne restait plus que la tête arraché de celui qui avait tant veiller sur elle. Traumatisé de cette perte, elle prit son arc et passa plusieurs heures a arpenter les collines sur la trace de ce tueur inconnu. Il lui fut aisé d'arriver a lui, mais comme sa colère était forte il l'a sentie venir et au moment ou elle allait lui planté sa lame dans le torse il se retourna et l’éjecta de sa grosse patte. Malgré sa figure ensanglanté et grâce a sa résistance elle put se relever et décocher une flèche qui atterri entre ses deux yeux, qui s’éteignirent presque immédiatement. Elle lui arracha la tête avec un cri plus percutant que toute les armes du monde. Le premier cri de sa vie. Le premier son émit, tel celui d'un enfant qui vient de naitre et va commencer son cheminement.
De ce jour elle arpenta toutes les terres Sylivanite, et celles attenantes, exécutant diverses missions pour survivre et ramener la paix. Elle avait très peu de dialogue et effrayait toujours le gens qu'elles croisait, à cause de son air plus sombre que jamais et ces yeux plus brillant qu'avant.
Une de ces missions la conduit au sergent Knox qui la prit sous son aile pour combattre les trolls et toutes les créatures noires de cette terre. Depuis elle c'est liée a une guilde gardienne pour éradiqué encore et toujours les envahisseurs et les fauteurs de troubles.
On peut la croisé a l'enclave du protecteur, avec ces équipiers, occupée aux préparatifs de sa prochaine mission contre le mal. C'est Massystia l'exclut, destinée combattante et défenseuse du bien.0 -
tankinatorfr Registered Users, Neverwinter Beta Users, Fury of the Feywild Knight Users Messages: 480 ✭✭✭Née dans l'Underdark, Ayen était la fille aînée d'une puissante maison Drow, mais il s'agit là d'un héritage qu'elle rejeta bien vite, peu désireuse de suivre les sombres préceptes de ses aînés.
Oh, certes, tout le monde autour d'elle connaissait son excentricité, mais de là a penser qu'elle s'enfuirait un jour en catimini de la demeure familiale, il y avait un pas que nul ne franchit jamais.
Sauf elle, justement...
Elle s’exila volontairement à la surface pour y chercher sa propre voie, celle où elle s'épanouirait vraiment.
C'est cette voie qu'elle trouva enfin en devenant prêtresse de Kelemvor.
Et ce fut encore celle-ci qui la mena à Neverwinter, en ce jour fatidique où Valindra lança son assaut...
Ayen décida de voir, en la perte de ses maigres possessions, l'opportunité d'un nouveau départ, et partit à l'aventure, heureuse d'être apatride.DEFINITIVEMENT RETIRE DU JEU
Voleur, oui, Perma-furtif, non
Perso principal : Taelia Stenos, Voleuse Fourbe
Rerolls :
Ayen l'Apatride, Dévouée prêtresse de Kelemvor, Sélénée Sylverlight, Guerrière Défensive, Rogan le Juste, Guerrier Offensif (<70), Maeron Visoduai, Magicien Manipulateur (<60), Fael' Kargalifen, Rodeuse Archère, Shad Stenos, Sorcière Dévastatrice (<70), Duncan Northwood, Paladin Féal (<60)0 -
Bonjour Xeltey,
Voici le lien de la biographie de mon personnage principal sur neverwinter pour la participation à ce concours de biographies de notre personnage;
cette biographie se trouve dans la partie roleplay "l'Estrade" de ce forum officiel.
Merci de cliquer ici pour lire la biographie de mon personnage, Maeghir, le seigneur perçant
Merci et bonne chance à tous pour le concours.
Grande est la force des armes,
Immense est le pouvoir des mots,
Infinie est la magie du coeur.
©Lyokin0 -
Et enfin, voici la biographie de mon personnage secondaire, que je souhaite aussi faire participer au concours :
Cliquer ici pour la biographie de Lyokin, le maitre des ombres
Bonne journée à toutes et à tous!
Grande est la force des armes,
Immense est le pouvoir des mots,
Infinie est la magie du coeur.
©Lyokin0 -
Fin des participations.
Votez pour vos héros préférés en cliquant ici.CM Xeltey
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